3 blocs politiques dominent les élections législatives en France

Les sondages d’opinion ont révélé la présence de 3 blocs politiques qui obtiendront la majorité des voix lors des prochaines élections législatives françaises, qui se tiendront dans 3 semaines, et leurs résultats auront un impact significatif sur le travail du président Emmanuel Macron, selon un reportage du journal « Le Monde ». Le premier tour des élections législatives françaises aura lieu le 12 juin, tandis que le second tour sera organisé le 19 du même mois. Le 22 juin, l’Assemblée nationale (Parlement) commencera ses travaux, tandis que son président sera élus et les blocs de partis qui le composent seront annoncés le 28 juin. Le lendemain, les commissions permanentes du Parlement sont constituées. La République française compte actuellement 577 circonscriptions après l’ajout de 11 circonscriptions en 2012 ; Il représente l’ensemble des Français expatriés, estimé à 2,5 millions de personnes, et 577 députés sont élus.

blocs dominants

Un récent sondage a révélé qu’il y a 3 blocs politiques qui contrôlent 75 % des intentions de vote ; C’est la majorité présidentielle sous la bannière « Ensemble », qui comprend le parti du président Macron, l’ancienne « République d’Ennahda » Ennahda, le parti « Modem » et le mouvement de droite « Horizonte » avec 28%, puis le nouveau Populaire, Bloc de l’Union Ecologique et Sociale, qui comprend le parti « Union du Peuple », auquel appartient le parti « Ensemble », fière France, le « Parti Vert », le « Parti Socialiste », le « Parti Communiste de France » à 27 %, et enfin le Parti du Rassemblement national avec 21 %, dirigé par l’extrême droite Marine Le Pen, qui a perdu face à Macron au second tour de l’élection présidentielle d’avril. Le journal souligne que si aux suffrages remportés par les candidats du parti « Restitution » dirigé par l’extrême droite Izik Zemmour, qui selon le sondage obtiendront 6% des suffrages, s’ajouteront le bloc de l’extrême droite, représentant par les partis « Rallye National » et « Rallye National. Reprise », compteront pour environ 27%.

Les résultats du sondage ont confirmé que le groupe tripartite, formé à partir des résultats du premier tour des élections présidentielles françaises le 10 Le parti La France Fière et le parti dirigé par Jeanne Luc Melenchon, La France Fière, se poursuivra également aux élections législatives, depuis au premier tour de l’élection présidentielle, 27 % des Français ont voté pour Macron et 23 % pour Le Pen, 21,9 % pour Mélenchon.

Les républicains sont les plus durement touchés

En revanche, le journal souligne que ce nouvel équilibre des forces politiques ne laisse aucune place à la concurrence et que le parti « républicain », qui s’est allié aux centristes au sein de l’Union des démocrates et indépendants, est le premier à subir une crise sans précédent. situation de faiblesse, et le sondage montre qu’il n’obtiendra que 9 % des suffrages aux prochaines élections législatives, après les résultats désastreux obtenus par son candidat au premier tour de l’élection présidentielle, puisque seuls 4,78 % des Français ont voté pour leur.

Bien que le sondage électoral ait montré que la majorité présidentielle sous la bannière « Ensemble », qui comprend le parti de Macron, l’ex-« République d’Ennahda », le parti « Modem » et le mouvement de droite « Afaq », ont une liste d’intentions de vote à 28 %, alors que les électeurs votent traditionnellement à l’unisson, donnant au chef de l’Etat qu’ils viennent de nommer une majorité à l’Assemblée nationale, le journal rapporte que certains électeurs du parti de Macron s’inquiétaient à l’époque contre eux, estimant les 49 jours entre la présidentielle et la parlementaire les élections peuvent signifier qu’ils perdent une partie de l’élan de la victoire et permettent à l’opposition de se relancer en leur remportant des sièges précieux.

L’impact de l’élection sur Macron

Au cas où la mouvance du président Macron n’obtiendrait pas la majorité au Parlement lors des prochaines élections législatives, elle serait contrainte de nommer un nouveau président ou Premier ministre à la place d’Elizabeth Borne, poussant la France vers la soi-disant « coexistence politique », où le président du pays et ses ministres n’appartiennent pas à la même tendance politique, faisant perdre au chef de l’État une partie de ses pouvoirs politiques intérieurs.

Denise Herbert

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