Une étude publiée mardi 13 juin révèle que 67 % des Français perçoivent l’intelligence artificielle comme une menace, notamment compte tenu de la popularité croissante de la technologie de chat GPT et de l’application de traitement d’images « Med Journey ».
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La société de cloud computing Oracle a mené un sondage d’opinion et a constaté que les inquiétudes concernant les nouvelles technologies ne sont pas nouvelles, mais qu’elles ont augmenté de 14 points dans les deux mois suivant la dernière étude.
L’étude publiée par le site Web indique « C-Actualités » » Sept Français sur dix voient le développement de l’intelligence artificielle comme une menace pour l’emploi (72 %) et une menace pour la fiabilité de l’information (71 %), soit une hausse de 14 points de pourcentage depuis avril dernier, et pour l’ensemble des personnes ( 70% et également une menace pour l’avenir de leurs enfants (69%), pour l’égalité des chances (68%), pour l’éducation (65%) et pour la protection de l’environnement (58%).
Pourquoi toute cette peur ?
Christophe Negrier, directeur général de la société de sondage française Oracle, a expliqué que ces résultats sont très révélateurs de l’atmosphère incertaine dans laquelle nous vivons actuellement, principalement en raison du développement rapide des innovations et des résultats obtenus dans le domaine de l’intelligence artificielle créative. .. L’opinion publique française s’en préoccupe depuis plusieurs mois et le potentiel de cette technologie est épuisé. »Chat GBT » Et aussi « Voyage médical » Produire des images dont il n’est plus possible de dire si elles sont réelles ou artificielles.
Il a poursuivi en déclarant dans une déclaration à C News : « Ce qui est préoccupant réside dans l’exploitation de l’intelligence artificielle, son objectif, ses applications et l’étendue du contrôle qu’elle exerce. C’est exactement un point d’attention. » Tous les participants à l’enquête sont convaincus que 82 % d’entre eux souhaitent que les pays la réglementent, mais environ les deux tiers (64 %) des personnes interrogées doutent de la capacité des pays à réglementer l’IA.
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