Un taureau géant a volé la vedette en France, est devenu une star sur les réseaux sociaux, et les comptes qui lui sont consacrés sont suivis par des dizaines de milliers de fans qui consultent ses journaux intimes.
Et une femme nommée Sabine chevauche le taureau « Aston » pour faire un pique-nique matinal près des vignes d’un village de la région de Moz, dans l’est de la France, et ce taureau marche d’une démarche calme et confiante, à la manière de nombreux chevaux pur-sang.
Le taureau « Aston » vole la vedette
Un homme surpris s’arrête dans son camion pour immortaliser la scène insolite avec l’objectif de son téléphone portable, et à chaque trajet, « Aston » suscite les mêmes réactions, auxquelles Sabine Roa répond en riant : « Honnêtement, je n’ai rien inventé. »
Pelatih kuda asal Prancis Sabine Rouas, chercheur mengadopsi anak sapi jantan berusia 1 tahun yang dinamakan Aston.
Aston Dibesarkan Bersama Kuda Peternakan Sabine. Kini Aston jadi bintang desa kecil di Prancis, Karena tingkahnya yang tak biasa. Je berperilaku seperti kuda. pic.twitter.com/xCkSD4Stl2
— VOA Indonésie (@voaindonesia) 24 décembre 2022
Dès qu’il montre son museau, ce taureau unique attire l’attention dans la région et au-delà.
Et sur les réseaux sociaux, Yannick Kirchoffer, le mari de Sabine, veut publier les journaux du taureau jusqu’à ce qu’il ait 62 000 followers sur TikTok, 90 000 abonnés sur YouTube et presque autant sur Facebook.
Et l’histoire de Sabine a commencé avec « Aston » à cause de son chagrin pour le cheval de course qu’elle a élevé, et elle dit : « Chaque cavalier dans sa vie a un lien spécial avec un cheval. Quand il est parti, je ne voulais plus entendre parler de chevaux. «
Sabine habitait alors à côté d’une ferme au Luxembourg, observant attentivement le bétail au fil de la journée et a eu l’idée de contacter le propriétaire de la ferme pour « renouer avec les gros animaux ».
Sabine explique : « J’avais toujours un problème avec les chevaux et je n’avais aucun contact avec eux, alors je suis descendue à la ferme et j’ai vu une vache qui avait l’air plus intéressante que les autres. .
Ce fut une révélation pour les Sabines, et lorsque la vache donna naissance à un veau mâle, elle acheta les deux animaux.
« Pour moi, c’était le début de l’enfer, raconte Sabine. Elle devait trouver un endroit pour loger les deux animaux. « On m’a dit que j’étais complètement folle, et c’est vrai que je ne savais rien » de ces animaux. .
Il pèse plus d’une tonne
L’ancienne responsable commerciale à la forte personnalité est restée fidèle à son idée et comme pour les chats qu’elle dresse, Sabine croit au lien particulier entre l’homme et l’animal et elle pensait à l’époque que dresser « Aston » n’était peut-être pas une mauvaise idée. Sabine est restée coincée sur ce lien mais est tombé 38 fois en 3 mois en essayant de gravir le Bull.
Mais elle a vite repéré des signes encourageants : « Quand il m’a vue monter à cheval, Aston a voulu faire la même chose, raconte-t-elle. En observant, il a beaucoup appris de leur comportement, alors nous nous sommes concentrés sur l’élément d’imitation. »
Quel a été le résultat ?
Maintenant, Aston, 9 ans, saute par-dessus de petits obstacles et fait des mouvements latéraux comme des chevaux.
Sabine raconte : « Quand les gens voient ça, ils me disent qu’Aston pense que c’est un cheval, et c’est vrai. Il adore imiter les chevaux et je n’ai d’autre choix que de le laisser faire ce qu’il veut. Il pèse 1,4 tonne. » , et il a sa propre personnalité. »
Et elle conclut: « Il ressemble beaucoup aux chats en termes d’éducation, et il y a une ressemblance dans la personnalité. »
Le succès de « Aston » a incité Sabine à participer à des concours hippiques et à développer la marque « Aston Bull ».
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