Les discussions sur le danger de l’extrême droite en France sont revenues sur le devant de la scène après que des extrémistes ont incendié la maison et la propriété du maire d’une petite commune de l’ouest du pays et qu’ils sont toujours en fuite, et il est probable que ils appartiennent au mouvement de droite.
confirmé un rapport Le site français Mediapart a rapporté que la maison de Yannick Moriz – maire de Saint-Pervin-les-Bains – a été gravement endommagée par l’incendie, tandis que sa voiture et celle de sa femme ont été complètement détruites sans l’aide des voisins, l’incendie aurait causé des pertes humaines.
Soutien total au mire de #SaintBrevin Yannik Morez. Ces violences graves, et ces menaces, sont insupportables et insupportables. Leurs auteurs doivent être identifiés et condamnés. https://t.co/j9mrZebbWi
– Johanna Rolland (@Johanna_Rolland) 22 mars 2023
des menaces
Selon le rapport, le maire Moriz a récemment reçu plusieurs menaces parce que la municipalité soutient le projet de création d’un centre d’accueil des demandeurs d’asile, ce qui a provoqué la colère de l’extrême droite.
Et à la fin du mois dernier, un groupe de droite a pris part à une manifestation opposée au projet, et les manifestants ont arboré des drapeaux de la « guerre de restauration » tout en étant accueillis par une foule de résidents et d’activistes soutenant la création par le projet d’un centre d’accueil pour les demandeurs d’asile. .
Le site cite Philip Gross, le responsable d’une association locale qui s’occupe de l’accompagnement social, affirmant que l’attaque contre le maire Yannick Moriz était incompréhensible étant donné que le projet de création du centre était un projet de l’État français et que sa campagne conservatrice soulignait que les partisans de l’extrême droite n’hésitent pas à s’en prendre aux militants des ONG qui s’occupent des immigrés.
imposer l’ordre
Le journal Le Monde s’est emparé de l’incident et a invité V sa rédaction Aujourd’hui, c’est vendredi pour protéger les élus venant en aide aux demandeurs d’asile et pour appliquer strictement les dispositions de la loi contre toute personne qui tenterait de les agresser.
Le Monde rapportait qu’en janvier dernier, des partisans du parti « Reconquête » dirigé par l’extrémiste de droite Eric Zemour avaient réussi à forcer la municipalité de « Calac », dans le nord-ouest de la France, à abandonner le projet d’intégration des réfugiés par des manifestations et une guerre de diffamation contre les réseaux sociaux. plateformes médiatiques des élus porteurs du projet.
Selon le journal français, les partisans du parti d’Eric Zemour recherchent une répétition du même scénario dans d’autres régions, dont la commune de « Saint-Pervin-les-Bains ».
Soulignant l’importance de frapper d’une main de fer toute personne qui enfreint la loi et de promouvoir le discours de haine et l’hostilité envers les demandeurs d’asile et les immigrés, le journal a évoqué la nécessité de démanteler le discours de haine et de renverser les éléments de désinformation sur lesquels il repose.
Dans son éditorial, Le Monde a également appelé à soutenir et encourager tous les élus et militants des ONG qui soutiennent et promeuvent le respect des droits des réfugiés et les aident à s’intégrer harmonieusement dans la société française, comme l’exige la loi.
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