Les autorités françaises ont ouvert une enquête sur le décès d’un jeune algérien victime d’un infarctus lors de son examen du baccalauréat au lycée Gaston Berger de Lille, après que des élèves se sont plaints du retard dans la réponse des fonctionnaires et des observateurs de la salle d’examen à la l’homme de la santé du garçon, selon le site Web. journée algérienneVendredi.
Et selon la localisation du site TF1 Huit superviseurs et environ 80 étudiants étaient présents lorsque la maladie de Nadir a frappé.
Le site français rappelle que le 21 mars, devant ses collègues, Nadir est tombé malade et est décédé le jour même.
Son père, Tijjani Bekadour Ben Attia, a déclaré au site français qu’il portera plainte pour ne pas avoir sauvé une personne en danger.
Le père a justifié sa colère par des « témoignages » des incidents, en disant : « Les étudiants nous ont dit que Nazir était allongé seul sur le sol pendant environ 20 minutes et il leur a demandé de poursuivre l’audit comme si de rien n’était. »
Il poursuit en disant que son fils souffrait d’une maladie cardiaque et qu’il est venu en France en 2007 pour se faire opérer.
Et il souligne que la direction de l’école en est consciente, car ses données de santé doivent être notées lors de son inscription, donc une aide doit être apportée immédiatement et il doit être sauvé en sollicitant rapidement l’aide du médecin scolaire.
Et le rapport indique que les responsables de l’école ont confirmé à l’AFP mardi dernier qu’ils avaient immédiatement contacté les services d’urgence et que les premiers soins lui avaient été administrés immédiatement.
Les autorités ont ouvert deux enquêtes sur l’affaire, la première par le parquet de Lille et la seconde par le ministère français de l’Éducation nationale.
Nazir a été enterré à Oran, sa ville natale, où le consulat d’Algérie en France a entrepris le processus de rapatriement du corps dans sa ville natale, selon le site Internet algérien An-Nahar.
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