De nombreuses interrogations circulent au Liban sur le déroulement de « l’attaque » judiciaire française contre les banquiers et les patrons de banques. Questions sur les objectifs, les motivations, les raisons et plus encore. Néanmoins, il convient de noter à l’avance que toutes les procédures judiciaires et judiciaires dans le domaine de la comptabilité financière et bancaire au Liban sont une nécessité et un besoin urgent. Et sur cette base, il est possible d’accéder à la découverte de nombreuses atrocités et scandales qui ont régi la mécanique des jeux financiers et la création de richesse. Pour un certain nombre de raisons réalistes et objectives, et compte tenu du manque de confiance entre la justice libanaise et libanaise, toute enquête judiciaire internationale, qu’elle soit européenne ou américaine, reste préférable à une enquête locale.
théorie du complot
Mais à côté de tout ce parcours, le « Libanais » est politiquement obsédé par la nature. De nombreuses expériences et éléments sociaux et politiques le poussent à soulever l’équation « théorie du complot » pour rechercher les origines et les motivations de chaque parti prenant une telle démarche. A noter que ce procès s’accélère sur fond de plusieurs évolutions politiques et de la recherche d’un accord présidentiel qui reproduirait la composition de l’agence chargée de préparer un plan de sauvetage ou de réforme économique et financier, incluant la restructuration du secteur bancaire.
Les Libanais, eux aussi, ont hâte de poser des questions sur les ambitions françaises d’investissement dans divers secteurs devenus publics et non plus cachés. Dès lors, la question se pose de savoir s’il y a des ambitions pour Paris d’investir dans le secteur bancaire libanais après son processus de restructuration, d’autant plus que ce secteur au Liban a toujours eu une spécificité française avant la crise de l’effondrement d’Intra Bank. Après cette crise, cependant, le secteur s’est orienté vers «l’américanisation». Il y a actuellement de nombreuses questions sur la volonté de Paris de revenir dans ce secteur, comme cela a été le cas avec ses ambitions de revenir aux investissements et aux partenariats avec Middle East Airlines et d’autres institutions importantes et importantes.
chef de la sécurité
Pour compliquer la question, le président français Emmanuel Macron a accompagné le banquier français d’origine libanaise Samir Assaf lors de sa visite à Beyrouth pour présenter l’initiative française en 2020. A cette époque, une tentative française a surgi de nommer Assaf comme gouverneur de la Banque centrale. Ceci dans le contexte de l’attaque massive à Paris contre le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salameh, judiciairement suite aux nombreuses poursuites intentées contre lui devant les juridictions européennes, dont françaises, ou politiquement, en préparant la nomination d’un successeur à lui. , au milieu de la précipitation de la France à conclure rapidement l’élection présidentielle afin que le nouveau gouvernement puisse nommer un nouveau gouverneur de la banque centrale pour éviter toute tentative de prolongation de Salameh.
Lors du quinquennat de Paris, parallèlement aux discussions sur le dossier de la présidence libanaise, la France a adhéré à la nécessité d’obtenir une réponse américaine claire en levant le voile sur Riyad Salameh et en obtenant l’engagement des pays présents pour qu’il prenne la tête de la banque centrale à la fin de son mandat partir et ne lui laisser aucune marge d’expansion.
En pratique, Paris a pris une position de principe sur cette question. Cependant, selon des sources de suivi, Paris est toujours à la recherche d’une position plus déterminée, stricte et claire pour empêcher Salameh de rester en fonction et empêcher qu’une issue à une prolongation ne soit trouvée. Quant à enquêter sur les propriétaires de banques ou les responsables de banques et à prendre des mesures contre eux, l’objectif est d’obtenir qu’une plainte soit déposée contre Salama. De cette façon, les Américains sont gênés d’ouvrir enfin le couvercle de l’homme, ne laissant aucune fenêtre pour se faufiler pour l’étendre.
« Rivalité » franco-américaine ?
En plus de cette tentative française de réclamer la sécurité et l’embarras de tous ceux qui le soutiennent ou le couvrent, les mesures françaises sont le résultat de sanctions américaines qui ont également été imposées à des personnalités libanaises et elles ont été interprétées comme une tentative de bloquer ceux de l’initiative politique menée par Paris pour les élections présidentielles.
Dès lors se pose la question de savoir si ces actions s’inscrivent dans le cadre de la « concurrence » franco-américaine et du partage de renseignement, ou si elles déboucheront à terme sur une voie intégrée entre les deux camps. La France essaie d’accélérer cela en complétant les dossiers judiciaires et les allégations. Outre un autre objectif, il s’agissait également de dissimuler toutes les critiques de la France sur ses objectifs d’investissement au Liban et la recherche de ses propres intérêts.
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