Paris – Randa Taqi al-Dinama a été annoncée par le ministère français des Affaires étrangères il y a quelques semaines que Paris n’était pas en train d’élire le futur président libanais, dans ce que certains au Liban ont interprété comme un désaccord entre le ministère français des Affaires étrangères et l’Elysée . La réalité est que pour ceux qui ne connaissent pas la France, c’est un contresens où la Présidence est en fait celle qui détermine les politiques internationales et le ministère des Affaires étrangères les met en œuvre, depuis les époques de tous les présidents sauf les périodes de coexistence des gouvernements, car c’est à la fois le ministre des Affaires étrangères gaulliste de droite Alain Juppé à l’époque de feu le président François Mitterrand et le socialiste Hubert Védrine qui ont réussi à influencer la politique internationale. Aujourd’hui, comme toujours, le président en France est celui qui conçoit la politique étrangère et son équipe diplomatique, dirigée par l’ancien ambassadeur au Liban Emmanuel Bonne, est celui qui la met en œuvre au Moyen-Orient, en particulier les dossiers libanais sur le conseiller présidentiel Patrick Durrell. . Le tout est coordonné avec la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, le chef de son cabinet, l’ambassadeur Louis Fassi, et la directrice Moyen-Orient à l’Etat diplomatique, Anne Gegen.
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