« Réaliser un projet de film comme celui-ci est incroyable. »

François Civil : « La réalisation d’un tel projet de film est incroyable »

 

Depuis le 5 avril 2023, « Les Trois Mousquetaires : d’Artagnan » (2023) de Martin Bourboulon est présenté dans les galeries françaises, avec François Civil (D’Artagnan), Vincent Cassel (Athos), Romain Duris (Portus) et Pio Marmari (Aramis). Il s’agit d’une nouvelle version théâtrale adaptée du roman le plus célèbre d’Alexandre Dumas (1802-1870), « Les Trois Mousquetaires », la première « Trilogie des Mousquetaires » (1844), qui fut suivie de « Après 20 ans » (1845 ) , puis « Vicomte Bragolon, ou après 10 ans » (1847-1850).

« Univerance » a déclaré que 1 374 768 téléspectateurs l’ont vu depuis le début de ses émissions commerciales (jusqu’au 15 mai) et a rapporté 7 332 252 € (5 540 exemplaires de l’émission). Quant à Alusiny (un site français), il a été indiqué qu’en 8 semaines il y avait 3 millions 274 000 et 97 téléspectateurs qui l’ont regardé.

A cette occasion, plusieurs entretiens avec François Civil ont été publiés (dont un entretien que Fabien Bradver a réalisé avec lui le 4 avril 2023, publié dans « Le Soir », le quotidien belge francophone).

Une question est posée quand elle est posée Étudier le roman Classique à l’école, ou est-ce tiré d’un mémoire cinématographique : « Je ne me souviens pas de l’avoir lu, même si j’ai l’impression que j’aurais dû le lire à l’université. Quand j’étais jeune, je me souviens d’avoir regardé un dessin animé avec des chiens jouant aux chevaliers. En effet. » , il y a une prise de conscience de ce travail, on a tous une idée de qui il est. » d’Artagnan, le cardinal, etc. On sait ce qu’est un chevalier. Les restes du roman restent gravés dans la mémoire, que « Le roman ait été lu ou non. Il n’a pas d’âge », les histoires du XIXe siècle sur une histoire du XVIIe siècle. Il ajoute que c’est « également pertinent pour le présent ».

Quelle est la pertinence du roman pour le présent ? « Depuis l’adaptation de l’oeuvre, la question se pose, dit-il, car personne ne l’a fait en France depuis 60 ans. » C’est un motif pour le producteur Dimitri Rassam, qui a confié le projet à Martin Bourbolon, et il se demandait-il, l’équipe technique et les acteurs, dont Civil, se posaient cette question : « Maintenant où pourrait-il être opportun de faire ce projet ? Des films, nous. » Je ne le vois plus beaucoup. Un genre épique au souffle différent. Une sorte de film premium que nous avons laissé aux États-Unis, comme Indiana Jones. Nous avons un cinéma fort en France. Mais dans ce domaine « nous ne sommes pas vraiment représentés. Je vois que la réalisation d’un tel projet est incroyable, avec une histoire qui vient de notre héritage.

 

 

Et d’Artagnan : « Comment construit-on un personnage comme ça ? » « Dans la cour d’école », répond Séville, « on jouait aux Mousquetaires », et à d’Artagnan : « J’ai dû me débarrasser de tous les « actes » qui ont d’abord été suggérés : (Jean-Paul) Belmondo, Douglas. Fairbanks, Gene Kelly et une pléthore d’acteurs brillants. Trop haut, surtout quant à savoir si je ne dois pas me comparer à eux car alors je serais rigide. L’idée est de créer votre propre performance, puisque je joue un rôle différent à chaque fois. Je me demande qui est cet homme, comment était sa vie au 17ème siècle et pourquoi il a décidé d’aller à Paris. (Je me demande) quel genre de feu brûle en lui. Alors ce que je partage avec les autres « performances », c’est l’enthousiasme, le courage, l’impulsivité et l’instinct de cet homme. Peut-être que cela lui a donné un peu de vulnérabilité, en particulier vis-à-vis de Constance (Lina Khodri – Editeur) ».

« Le film nous plonge dans un combat à l’épée bien réel. Est-ce difficile à apprendre ? », demande Civil. Il répond : « L’escrime dans le gymnase est différente de ce qui se passe avec le costume de chevalier, le poids, le chapeau et la tête coupée par l’épée. Il faut apprendre à s’y adapter. Mais ces vêtements. » Vous donne un statut différent qui facilite la communication avec le personnage. J’ai passé 5 mois à me préparer et à pratiquer avec Mario Lorachi, maître d’équitation, et son fils Marco, défenseur honoraire. J’étais complètement nouveau à la fois dans l’équitation et le combat à l’épée. Lors de la première séance sur un cheval d’entraînement, il m’a fait trotter à un rythme précis pendant 60 tours sans utiliser mes mains. Il m’a dit : « C’est ce que tu vas apprendre le plus durement », et j’ai répondu : « Oui ». J’étais couvert de bleus. Il y a des gens qui connaissent très bien le maniement du sabre, comme Yannick Borrell, le champion olympique. Cela a immédiatement relevé la barre. Cela m’a forcé à accepter ce qui était difficile à l’entraînement.

Malgier Martel

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