Premièrement : Obstacles juridiques et constitutionnels
Le deuxième alinéa de l’article 49 de la Constitution libanaise établit le mécanisme d’élection du Président de la République à la majorité des deux tiers de la Chambre des représentants lors du premier cycle électoral. Par conséquent, le quorum pour la session ne doit pas être inférieur aux deux tiers. Une majorité absolue est également suffisante lors des cycles électoraux ultérieurs, et un quorum constitutionnel d’une majorité des deux tiers est requis lors de tous les cycles électoraux ultérieurs. Ainsi, l’absence du tiers des membres du Conseil plus un entraîne une perturbation du quorum pour les séances électorales. Cela s’est produit dans toutes les législatures précédentes, tout bloc politique au sein du Parlement étant en mesure d’assurer la possibilité d’une obstruction s’il estime que le déroulement des élections peut ne pas être conforme à ses intérêts. Par conséquent, ce texte constitutionnel devrait être reconsidéré afin qu’il ne prévoie pas la possibilité de faciliter la suspension en ouvrant les sessions en vertu des articles (73, 74 et 75) de la Constitution à partir du dixième jour avant l’expiration du mandat du Président et suppression de la possibilité de suspension après cette date, en modifiant l’article 73 de la Constitution pour imposer la présence obligatoire après la date précitée jusqu’à l’élection du Président, tout en soulignant le contenu de l’article 75 de la Constitution sur certains points relatifs à l’élection du Président au sein de considérer le Conseil réuni dans les délais constitutionnels comme un organe électoral et non comme un organe législatif et de procéder promptement et régulièrement jusqu’à l’élection du chef de l’Etat sans discuter d’autres mesures, et de modifier le Règlement de La procédure de la Chambre des représentants, le cas échéant, à condition que la Constitution soit modifiée conformément aux articles (76 et 77) de la présente Constitution soit modifiée.
Deuxièmement : les barrières politiques et confessionnelles
Lors de toutes les sessions électorales, il a été établi qu’aucun des partis des forces politiques ou des blocs parlementaires en lice ne peut assurer le quorum pour ces sessions sans le consentement de l’autre parti en lice, avec possibilité d’obstruction par le tiers bloquant, en particulier dans la campagne électorale. cycles basés sur le premier cycle électoral de chaque session. Cela montre également qu’aucun parti ne peut obtenir le succès de son candidat sans se coordonner avec les autres. Cette équation a échappé aux bilans résultants dans toutes les sessions ultérieures. Il aurait été préférable de parvenir à un accord politique consensuel entre ces forces et les blocs parlementaires peu après la première session afin de faire du processus de l’élection présidentielle un succès et de ne pas perdre de temps en vaines tentatives, qui dans la plupart des cas. Même le cas a été marqué par malveillance politique entre des forces politiques sectaires peu habituées à la souplesse et au réalisme dans la pratique de l’action politique depuis des décennies, la contestation politique et l’affrontement entre ces forces sont restés tout sauf jusqu’au dernier meeting du 14 juin une responsabilité nationale tangible et un dévouement au plus haut intérêt national au niveau aux dépens de leurs intérêts minoritaires étroits.
Troisièmement : les facteurs externes
Le monde extérieur semble préoccupé par nous à ce stade alors que les interactions de la guerre russo-ukrainienne s’intensifient jusqu’à leurs proportions politiques, économiques et sociales extrêmes et que la guerre mondiale froide fait rage entre les géants de la Chine et de la Fédération de Russie et ses alliés d’un côté part et les États-Unis d’Amérique et leurs alliés en Europe et dans le monde d’autre part en confrontation. Le camp montant qui inquiète les Américains et confronte leurs projets politiques et économiques à plus d’un niveau et en plus d’un endroit sur cette planète. La France et certains pays du Golfe continuent d’essayer d’amener les Libanais à s’entendre entre eux afin de créer un climat favorable aux énormes investissements attendus dans le pétrole et le gaz, ainsi que dans divers autres secteurs de l’économie, les exhortant à obtenir les réformes administratives, économiques et financières nécessaires pour maintenir la continuité du travail des services publics et créer un climat sûr pour les investissements. Et établissez la confiance avec le Fonds monétaire international, les organisations donatrices internationales et les pays ayant un intérêt pour le Liban, sur une base d’auto-assistance, afin que nous puissions vous aider.
Quatrième : facteurs internes
président dr Salim El-Hoss, dans son livre Une fenêtre sur l’avenir, publié en 1977, déclare : « Le peuple libanais a toujours aspiré à la liberté, mais il ne maîtrise pas le jeu démocratique en raison du système politique sectaire qui prévaut dans la société ». Parler de la soi-disant «démocratie de consensus» au Liban n’est rien de plus qu’une couverture pour la situation sectaire qui a été perpétuée par le système politique sectaire au Liban pendant des décennies, et que la vraie démocratie ne peut se développer que dans un système politique loin de la politique. le sectarisme et ses pratiques absurdes, qui sont un état progressiste dans la vie des sociétés humaines et le consensus entre les partis sectaires, ne sont rien d’autre que le véritable contraire de l’évolution de la situation démocratique dans l’État civil moderne, auquel les Libanais n’ont pas d’alternative Cette phase consiste seulement à abandonner l’approche sectaire et à se tourner vers « l’état de droit et des institutions » et la justice sociale, sur la base du contenu de l’accord de Taëf, avec quelques changements nécessaires requis.
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