Pascal Bonifatius ne mentait pas lorsqu’il a écrit il y a des années son précieux livre, Les intellectuels trompés, dans lequel il faisait référence à un groupe de penseurs français qui aimaient chercher de nouvelles créations de leurs propres idées, qu’ils décrivaient comme des phénomènes de conspiration contre la race occidentale et la civilisation dénotait la pureté et, enfin et surtout, était nouvelle pour ce qui vient à l’esprit lorsqu’il s’agit de décrire la civilisation ou les contributions d’autres que l’Occident à la civilisation humaine et à tout ce qui se rapporte à la civilisation.
تمادى هؤلاء المثقّفون ا تقريب تقريب تقريب نفسهم بأسم بأسم بأسم ب ب بو نيف بونيف مض إ إ إ أخير أخير ن ا ا ا ا محوره محوره ا ا ا ا الكون أصف أصف ب عدم عدم قد قد كان ذلك النّشر struction الأفكار تراكميا، يُضمّ بعضه إلى بعض، إلى أن وصل إلى ذروته، أخيرا، مع مفهوم « لاحضارة » قوه على كلّ ما هو ليس غربيا من قيم، إبداع، أو أفكار إنسانية باعتبار أنّه En toute chose.
Si nous nous référons à la façon dont ces idées ont été diffusées, l’élite passe d’une idée à l’autre, mais si nous nous concentrons et remettons en question leurs contributions, nous constatons qu’ils rejettent tout ce qui n’est pas occidental et cherchons alors que ce qu’ils prétendent est fondé sur leur idéologie, dans laquelle le centralisme occidental est au cœur. D’eux vient la civilisation, qu’elle soit grecque ou romaine, des Lumières ou de la Renaissance, d’Athènes ou de Rome ou de Florence, de Londres et de Paris, mais l’autre monde l’appelait découvertes géographiques comme si elle n’existait pas du tout, et de plus, ils appelaient le temps quand d’autres ont contribué et avancé dans la civilisation humaine, des siècles. Au Moyen Age on disait qu’il faisait noir, alors que Cordoue, Kairouan, Le Caire, Damas et Bagdad étaient alors des métropoles de la science et de l’humanité.
Ces dernières semaines, des magazines français ont tenté de mettre l’accent sur le concept de « non-civilisation » et en ont fait le titre de leurs premières pages, ainsi que de publier des newsletters et des partages sur leurs chaînes.
Les symboles de cette élite ont puisé dans certaines des idées qui constituent l’axe de tromperie de l’opinion publique française, parlant du grand remplacement destiné à affecter profondément le tissu identitaire population occidental à l’aide de l’outil de l’immigration, et après avoir souligné que les acquis de la l’élite immigrée, devenue citoyenne française après la deuxième génération, dans les domaines scientifique, français et entrepreneurial ne sont rien d’autre qu’une tentative de masquer le grand impact de la présence des autres en France, ce qui conduit finalement à ce que le processus soit soigneusement orchestré par immigrés et que leur objectif est d’imposer des identités et des contextes civilisationnels non occidentaux à la société française, de sorte qu’il en résulte, selon eux, une prolifération délibérée d’un phénomène dit de « non-civilisation » puisque les valeurs et l’identité portent une non-civilisation. Caractère occidental destiné à se répandre en France et dans les sociétés occidentales en général, ce qui entraîne inévitablement une escalade des approches conflictuelles des intellectuels français et occidentaux à l’égard des pages des magazines, des médias et des livres qu’ils publient.
À cet égard, on note qu’elle repose sur l’affirmation que d’autres sont capables d’innover pour des raisons en partie liées à des préoccupations biologiques, ce qui implique que l’esprit des autres, autre que l’Occident, n’est pas enclin à innover ou à contribuer à la créativité à tout moment. niveau en commentant ces raisons à d’autres moments. Montesquieu les avait précédés pour des raisons liées au climat, affirmant que le climat chaud ne pouvait être un terreau fertile pour une civilisation. Au contraire, ils tendent la main à la race, à la religion et à l’identité non occidentale pour essayer d’en faire les causes du retard et de l’impossibilité d’innovation du monde non occidental. Tout ce qui peut être appelé civilisation.
Ces dernières semaines, des magazines français ont tenté de mettre l’accent sur le concept de « non-civilisation », en faisant le titre de leurs premières pages et en publiant des pamphlets et des messages sur leurs chaînes pour faire apparaître qu’il s’agit d’un programme. destiné à s’ancrer dans l’esprit des Français, d’autant que ce contexte coïncide avec l’introduction d’un ensemble de concepts. Avec une dimension identitaire, dans une tentative d’un côté de rabaisser l’autre et de faire passer la Loi sur l’immigration et l’asile qui a coïncidé avec son débat à la chambre basse du Parlement français, oui, a coïncidé avec une campagne de labellisation de la créativité des autres d’autre part comme non-civilisation.
C’est le contexte de continuité dans le traitement de l’autre du point de vue de la suprématie blanche et de l’identité occidentale
D’autre part, la simple contemplation de ces idées suffit à illustrer le déclin et la confusion qui ont assailli la civilisation occidentale, la transformant d’une civilisation humaine en une civilisation qui rejette l’autre et s’éloigne du contexte de participation et de partage de valeurs isolées . et il est d’accord avec lui-même, comme la France, par exemple, a appelé la loi de ségrégation raciale parmi son peuple sur une base religieuse, qu’il s’agit d’une loi contre l’isolationnisme, comme précédemment coordinateur de la politique européenne, Josep Borrell, a décrit l’Europe et l’Occident comme Jardin et les autres comme sauvagerie ou forêt et font référence à la différence entre les valeurs occidentales de paix, revendiquaient-ils, et les valeurs d’obscurantisme dans d’autres civilisations ou non-civilisations, mais nous avons vu l’Occident s’occuper d’un navire au large des côtes grecques, où aucune aide n’a été apportée et il a dû se noyer avec ses immigrants, tout en fournissant de l’argent et des navires pour la recherche de cinq riches, victimes d’un voyage fou dans les profondeurs pour observer l’épave du Titanic, qui coulé il y a plus d’un siècle.
C’est le contexte de continuité dans le traitement de l’autre du point de vue de la suprématie blanche et de l’identité occidentale, comme Samuel Huntington, au service du complexe militaro-industriel américain et occidental, a précédemment écrit un article scientifique sur les conflits entre acteurs réels , à savoir les États, sur les conflits entre unités civilisées et attire en même temps l’attention sur la menace et sa nature. En disant qu’il existe une menace orientale pour la civilisation dont les origines remontent à l’homme jaune et plus précisément aux auteurs de la référence à la philosophie de Confucius, donc la Chine, et que l’autre menace est verte, à savoir la menace islamique après laquelle les États-Unis font la guerre, notamment en Irak et en Afghanistan, ont confirmé ces visions intellectuelles qui n’étaient ce qu’elles sont aujourd’hui au regard de la notion de non-civilisation, mais une justification d’éventuelles guerres imminentes, dont le théâtre serait des espaces de non-civilisation ou ce qui précède menaces, tout comme il y a des siècles les sermons justifiaient la colonisation capitaliste des continents d’Asie et d’Afrique.
Voici quelques idées sur ce concept qui pourraient potentiellement avoir des répercussions. Nous attendons ce qui y sera mis en œuvre dans les jours et mois à venir, comme c’était le cas auparavant en ce qui concerne la vision du choc des civilisations…
Au final, qu’il suffise de dire que parmi les tenants de la non-civilisation, il y a deux pionniers de la haine en France : Bernard-Henri Lévy, le parrain des interventions occidentales dans le monde arabe, et Eric Zemmour, en plus d’un groupe de spoilers identifiés comme des intellectuels à qualifier. Boniface nous en avait donné quelques-uns et reste pour nous tandis que Days révèle le reste.
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