Formation d’un comité d’audit
Le Conseil du Collège a tenu une réunion mercredi, présidée par le ministre de l’Education Abbas Al-Halabi, pour discuter des dossiers de certaines universités privées. Le Conseil a publié une déclaration soulignant que toute information non publiée officiellement par le ministre ou le directeur général de l’enseignement supérieur ou le Conseil de l’enseignement supérieur est considérée comme une information non fondée. Le conseil a exhorté les différents médias et les responsables des sites d’information à ne publier aucune information ou actualité relative au Conseil de l’enseignement supérieur avant que son authenticité n’ait été vérifiée. Cette déclaration ambiguë a été acceptée suite à la pression d’un membre du conseil représentant les universités privées, malgré des désaccords majeurs au sein du conseil sur la question.
Pendant ce temps, le cas des étudiants de l’Université libano-française et de l’Université libano-canadienne est toujours pendant. Des sources secondaires soulignent que le conseil avait précédemment recommandé d’empêcher l’université franco-libanaise d’inscrire de nouveaux étudiants aux cours d’ingénierie en échange des conditions actuelles des étudiants réglementées par leurs examens à l’université libanaise. Quant à l’Université libano-canadienne, le dossier étudiant est en attente. Un examen pour les étudiants de l’université libanaise a été discuté, mais aucune décision n’a été prise. La tâche principale du Conseil de l’enseignement supérieur était de former une commission d’enquête sur les examens administrés par l’université pour les étudiants de premier cycle.
contenu du règlement
Des sources bien informées confirment que le dossier universitaire sera réexaminé suite à la rédaction du rapport du comité. Cependant, il insiste sur le fait que le ministère de l’Éducation n’accorde pas aux étudiants l’équivalence de leurs diplômes à ce stade. Quant à la possibilité d’examiner les étudiants à l’université libanaise, même si les étudiants l’acceptent, cette équation peut être vraie : les universités sans licence inscrivent les étudiants, leur versent une déclaration chaque semestre et en imputent les frais à l’université libanaise.
Selon l’accord conclu par l’Université du Canada, qui a été examiné par Al-Modon, « la personne chargée du suivi des affaires de la Direction générale de l’enseignement supérieur, Mazen Al-Khatib, a demandé à la Présidence universitaire canadienne un accord . » Statut des étudiants au baccalauréat en génie géomètre et au master en génie géomètre inscrits dans la période comprise entre 2014 et 2019, selon des modalités spécifiques selon le statut de chaque étudiant, tels que les étudiants diplômés -Avoir un diplôme en génie topographique et sont inscrits au programme de maîtrise, tandis que les étudiants qui ont obtenu au moins 75% de leurs crédits de premier cycle au cours de l’année universitaire 2022-2023, les étudiants qui ont obtenu moins de 75% des crédits sont tenus d’étudier un autre diplôme de licence programme de même niveau, c’est-à-dire un baccalauréat, à condition que l’université suive les principes académiques qui favorisent la capitalisation des cours et leur équivalence. En génie géomètre, il est divisé en huit cas : et des conditions appropriées ont été établies pour chaque cas, en fonction du baccalauréat, qu’il soit technique ou académique, scientifique ou littéraire, et des taux de réussite liés au certificat d’excellence technique. La clause finale du règlement établit une obligation d’arrêter immédiatement l’inscription de tout étudiant dans un programme ou une spécialisation qui ne détient pas la licence légale.
Préparation des comptes spéciaux et des permis
Les sources confirment que la formation d’un comité pour réviser les examens de l’Université libanaise canadienne ne signifie pas que le dossier sera fermé. Le règlement serait actuellement en suspens, sous la menace que leurs témoignages ne soient pas reconnus afin d’atteindre la parité. On craint que le principe de comparaison ne soit transféré aux universités non licenciées, ce qui n’empêche pas les étudiants de se réinscrire. C’est un fait accompli et le dossier des étudiants est rouvert tous les trois ou quatre ans et leur situation est rétablie.
La réalité de la situation des universités privées non agréées s’applique également au dossier de l’enseignement privé pré-universitaire. De nombreuses écoles ne sont pas agréées et n’offrent aucune classe en dehors de la maternelle et de l’école primaire. Cette année, ils ont célébré la réussite de leurs élèves aux examens officiels du diplôme de fin d’études générales. Il a été noté qu’elle a inscrit des lycéens de troisième année et a reçu pour eux des agréments exceptionnels, et ils ont réussi comme tous les autres élèves… Bref, la génération future est la génération des règlements et des agréments exceptionnels !
“Independent pop culture scholar. Hardcore entrepreneur. Typical food addict. Internet nerd. Subtly charming music practitioner.”