La SNCF condamnée pour avoir piétiné un chat sous un train


agences

Jeudi 06 juillet 2023 21h30


Un tribunal français a déclaré la compagnie ferroviaire publique coupable de négligence après qu’un train au départ a renversé un chat s’échappant du sac d’un voyageur, scandalisant les militants des droits des animaux.


Les propriétaires du chat « Neko », dont le nom signifie « chat » en japonais, ont accusé des cheminots de cruauté envers les animaux après avoir refusé de retarder le départ d’un train à grande vitesse Paris-Bordeaux en janvier après que leur animal ait sauté sur le traces de chat. Malgré la demande du propriétaire du chat de retarder le départ, le train a commencé son voyage à l’heure et a écrasé « Neko » dans le processus. La compagnie ferroviaire a déclaré que l’animal n’était « pas visible » jusqu’au départ du convoi.


Une pétition a été envoyée le lendemain de la mort du chat, exhortant les chemins de fer français à « prendre les mesures appropriées pour protéger la vie et la sécurité de tout animal susceptible de faire face à une situation similaire à celle de Neko. » A recueilli plus de 100 000 signatures..


Un groupe de protection des animaux a déposé une plainte contre les chemins de fer nationaux (SNCF) Accusé de « mauvais traitements graves et d’inhumanité ayant entraîné la mort d’un animal ».


La peine pour toute partie reconnue coupable de ces accusations est une amende pouvant aller jusqu’à 75 000 euros (plus de 80 000 dollars) et une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à cinq ans. Cependant, un tribunal de Paris a condamné l’autorité ferroviaire à une amende de 1 000 € pour « négligence » et a jugé que tuer l’animal était un acte de « non-conformité ». volontairement. »


Le juge a conclu dans le verdict que cela était dû à « un manque de ressources pour sauver le chat ». Le jugement a également obligé la Deutsche Bahn à verser à chaque propriétaire de l’animal un autre millier d’euros de dommages et intérêts.


Le verdict est allé à l’encontre de la recommandation du procureur, qui a demandé que l’autorité ferroviaire soit acquittée de toutes les charges au motif qu’il n’y avait pas de « manque d’humanité » parmi les employés..







Roselle Sault

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