Divulgation d’un mandat d’arrêt suisse contre Rifaat al-Assad

organisation révéléeESSAI INTERNATIONAL« L’organisation indépendante des droits de l’homme, basée sur une décision du Tribunal fédéral suisse d’arrêter l’ancien vice-président syrien et oncle de l’actuel président du régime, ainsi que le chef des soi-disant « brigades de défense » en Syrie, Rifaat al -. Assad.

L’organisation a déclaré mercredi 16 août dans un communiqué officiel que le Tribunal pénal fédéral suisse (BStGB) et l’Office fédéral de la justice (OFJ) avaient émis un mandat d’arrêt « international » contre Rifaat al-Assad pour son rôle dans « graves crimes de guerre » commis en février 1982 dans la ville de Hama.

L’organisation a appelé les autorités suisses à « porter rapidement plainte contre l’homme de 85 ans, qui a été surnommé le « boucher de Hama », et à le traduire en justice ».

La décision du tribunal suisse est intervenue après une longue enquête. je l’ai critiqué l’organisation elle-même pendant le temps qu’il a fallu.

La décision a été rendue le 19 juillet 2022, selon TRIAL International, mais les autorités l’ont gardée confidentielle pour garantir l’efficacité du processus judiciaire et ont ordonné à la FCC d’émettre un mandat d’arrêt contre Rifaat al-Assad, annulant ainsi la compétence d’Assad. confirmer aux autorités suisses de le poursuivre et de le traduire en justice.

Les chiots ne sont pas à juste titre considérés comme les premiers du genre, comme Rifaat al-Assad approuvé Le 9 septembre 2021, la cour d’appel française de Paris a rendu un verdict appelé « gains illégaux » contre Rifaat al-Assad, l’accusant d’avoir investi 90 millions d’euros dans des actifs en France, dont des appartements, des fermes équestres et des palais.

Un jour après la condamnation de Rifaat al-Assad par le tribunal, son fils Ribal, dans une interview au journal, a publié une vidéo dans laquelle il la « caressait » avec ses deux petits-fils, Rifaat et César, et pensait à son fils Agence d’été »ria NovostiLe 11 septembre, la Fédération de Russie a déclaré que les allégations contre son père étaient « politisées et fabriquées ».

Enab Baladi a précédemment contacté la « Force de police criminelle internationale » (Interpol) par e-mail concernant la possibilité de son arrestation, Rifaat al-Assad, et a répondu que « le Secrétariat général d’Interpol lui-même ne mène aucune enquête et ses propres enquêtes ne sont pas en cours menées » les fonctionnaires n’ont aucun pouvoir d’arrestation ».

Si une personne est jugée ou souhaite purger une peine, l’État membre chargé de l’enquête peut demander à Interpol d’émettre une notice rouge sur la base d’un mandat d’arrêt national valide.

Selon Interpol, la décision d’arrêter ou d’extrader, ou de ne pas soumettre, une personne visée par la notice rouge relève des autorités nationales compétentes.

Interpol ne peut pas donner suite à un signalement, et la décision de le faire est à la discrétion de chaque pays.

Andrien Barre

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