Insatisfaction chrétienne vis-à-vis de la politique française… Les erreurs continuent et les intérêts particuliers prévalent après que 31 eurodéputés ont répondu à la lettre de Le Drian… Nouvelle de l’interdiction de son retour en septembre ! Sonia Rizk

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La France a toujours été qualifiée de « tendre mère » par une grande partie des Libanais en raison de sa sympathie et de sa proximité avec eux et parce qu’elle considère le Liban comme un pays francophone qui se vante d’enseigner sa langue dans la plupart des programmes et que la France a toujours défendue. par le Liban politiquement, surtout depuis le début de la guerre qui l’a dévasté, mais avec le changement de sa politique et l’arrivée de présidents français loin de la ligne droite, ce titre n’est plus valable, surtout pour les chrétiens. Comme pour les changements politiques, les attitudes à l’égard du Liban ont également changé suite à l’émergence de nouveaux développements et d’intérêts particuliers qui, pour les alliés de la France au Liban, d Les changements ont commencé à dominer depuis l’ère de l’ancien président français Valérie Giscard d’Estaing, suivis de brusques revirements au cours de l’ère du président Nicolas Sarkozy, en passant par l’ère du président François Hollande jusqu’à l’actuel président Emmanuel Macron et son gouvernement embourbé dans les affrontements libanais. Le ministère de l’Intérieur, au lieu de se tenir dans la ligne médiane, a poursuivi une ligne politique différente qui était en contradiction avec les partis d’opposition chrétiens, qui à un moment donné ont supposé que la France serait de leur côté, alors que la réalité était le contraire alors que la France traversait présenté son délégué présidentiel Jean-Yves Le Drian avec une proposition présidentielle incohérente. Avec ce qu’ils recherchaient dans le cadre de l’acte présidentiel, qui les a surpris après Paris, l’arrivée du candidat loyaliste, le leader du mouvement « Marada », Suleiman Franjieh, a soutenu. Les réunions et négociations que Le Drian a tenues avec les acteurs de la présidentielle sans aucun résultat, en attendant de voir ce qui allait se passer. Il devrait s’entretenir en septembre prochain, en cas de retour de l’émissaire français au Liban, sur fond d’annonce de la possibilité de son retrait et de sa non-comparution, notamment suite à la réaction de 31 députés de l’opposition et indépendants, les laissant apparaître au sein d’un front qui se disait non au dialogue avec l’autre équipe et pas une seconde au message de Le Drian qu’il leur a envoyé il y a quelques jours, qui concernait la crise de la présidence et les caractéristiques du président, mais ce message « a atteint son objectif ». s’est inscrit contre le travail, le considérant comme une insulte aux députés libanais car certains d’entre eux ont vu qu’il contredisait le principe de la souveraineté nationale, tout en étant en même temps étonnés et irrités par la façon dont cela a été fait, car suivi par les députés ont indiqué un manque de respect des règles de droit, et ce mécontentement a été exprimé dans une déclaration de la sénatrice française Natalie Goulet, qui a commenté la lettre de Le Drian : « Après le mépris de ne pas dire à quel point la politique française en Afrique est stupide ici. » Jean-Yves Le Drian interroge le parlementaires libanais. Avec une demande de réponse à l’ambassade de France, mais sérieusement : le Liban n’est pas une colonie, et pourquoi le niveau de la France baisse-t-il ainsi ? C’est une insulte aux Libanais.

Par ailleurs, le mécontentement de l’opposition face au comportement des Français ne se limite pas à ce contexte, mais aussi à la question du traitement des dossiers des expulsés syriens, qu’ils voyaient comme une menace à la présence chrétienne posée par le changement démographique. , avec la présence d’autres Syriens plus de deux millions de Syriens dans le Liban rural au milieu des craintes et des inquiétudes quant à leur réinstallation. Alors que les Français ne se préoccupaient que d’expulser les déplacés de leur pays, cela a entraîné une baisse du nombre de Libanais partisans publics de la France et de son président, partis deux jours après l’explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020 La solidarité est venue au Liban , où Macron a semblé montrer une extrême sympathie pour les habitants des régions où l’explosion a eu lieu et a entraîné la mort de plus de deux cents victimes, des milliers de blessés, d’handicapés et de sans-abri, ainsi que des destructions massives, alors il a promis beaucoup et sentit son affection pour les habitants de ces quartiers, qui trouvèrent en lui un président solidaire et à leurs côtés dans cette catastrophe.Au bout de quelques semaines, les faits commencèrent à éclater au fur et à mesure que des intérêts particuliers se manifestaient.

En revanche, l’autre équipe libanaise a semblé soutenir le message de Le Drian et a écrit et déclaré publiquement son accord au dialogue et à la réponse, tout en saluant la mission française.

A cet égard, un député de l’opposition a fait état de ce qui se passe sur la scène politique depuis des jours, sur la possibilité que l’émissaire français puisse annuler son voyage au Liban, à condition qu’il aborde le dossier libanais plus tard et dans le cadre d’une approche internationale. Faire pression sur la question libanaise Élire un président consensuel par le biais d’un accord entre responsables libanais.

Et tandis que nous attendons les développements en septembre prochain et ce que cela apportera en termes de données positives ou négatives, l’anticipation reste maître de la situation, avec les yeux libanais sur le mouvement régional anticipé qui pourrait bientôt trouver une solution pour le Liban.

Édith Desjardins

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