Face à l’impossibilité de parvenir à un accord pour former un nouveau gouvernement avant la fin du mandat du président Michel Aoun, et face à l’affrontement ouvert entre le Premier ministre élu Najib Mikati et le « Courant patriotique libre », la majorité des forces politiques sont devenues le leur Pour attirer l’attention sur les prochaines élections présidentielles au motif qu’il s’agit de l’événement qui pourrait amener le pays dans une nouvelle phase sur le plan politique.
Fondamentalement, l’élection présidentielle au Liban a deux dimensions : la première est interne en termes d’équilibres locaux, tandis que la seconde est externe, basée sur le rôle joué dans l’arène libanaise par les forces influentes régionales et internationales, et ne peut donc être ignorée lorsqu’on évoque les élections présidentielles, notamment L’impact de la seconde, historiquement, est plus important que la première.
Il n’est actuellement pas possible de parler de données décisives sur les influences extérieures, comme le confirment les milieux politiques informés à la « Newsletter », car l’image de la région n’est pas claire jusqu’à présent, alors que la prochaine étape sera un rendez-vous avec un groupe. C’est une réalisation importante qui commence avec la visite du président américain Joe Biden, dont les conséquences soulèvent de nombreux points d’interrogation, et qui ne se termine pas avec le sort des négociations américano-iraniennes, mais ferme également les contacts existants entre l’Iran et l’Iran. Côtés saoudiens a.
Dans le même temps, ces sources du ministère des Influences n’annulent pas les négociations sur l’établissement des frontières maritimes avec Israël, surtout après leur avoir fixé un calendrier précis en septembre prochain, c’est-à-dire en lien avec l’ouverture large des élections présidentielles, car cela risque d’être l’initiative l’initiative du Président du Parlement, Nabih Berri, de convoquer la première séance pour élire le Président de la République le 1er septembre, et donc des avancées positives au niveau de ces négociations peuvent avoir des effets positifs des répercussions au niveau de l’acte présidentiel, d’une manière ou d’une autre, alors que des indicateurs négatifs peuvent conduire à une complexité très dangereuse de ces dossiers.
En attendant la clarification des facteurs externes influents, il est devenu clair que certains acteurs locaux ont déjà défini leurs premières orientations. Le chef du Parti des Forces armées libanaises, Samir Geagea, a décidé de lancer désormais une campagne de consultations avec le reste des forces de l’opposition libanaise en espérant qu’il conduirait à un accord sur un nom, dément cette affirmation alors qu’au niveau de la Coalition du 8 mars et du Mouvement patriotique libre, qui compte plus d’un candidat à la présidentielle, conteste certains mouvements notables à surveiller, dont le plus important était la rencontre entre le leader du mouvement, le député Gibran Bassil, et Farid Khazen, un représentant proche du mouvement « Marada ».
À la lumière de ces faits, les sources successeurs via la « Newsletter » font une pause à la forte entrée du patriarche maronite, le cardinal Mar Beshara Boutros Al-Rahi, dans la ligne de crédit du président après qu’il a tenté dans le passé de tomber dans l’équation du président fort, alors qu’il a-t-il formulé avant-hier ce qu’on pourrait appeler des directives présidentielles, parlant d’un Président politiquement compétent et expérimenté, respecté, courageux et impartial, d’un homme d’État neutre dans son intégrité et d’une neutralité engagée dans son patriotisme, qui parle de files d’attente, d’axes et de partis , ne défie personne et est en mesure d’exercer le rôle de référence nationale, constitutionnelle et morale.
Ces spécifications, du point de vue des mêmes sources, soutiennent fortement l’option du candidat centriste, puisqu’elles ne s’appliquent à aucun des candidats pouvant être affectés à l’un des principaux partis, et il est clair que Bkerké les soutient à l’heure actuelle. stade sur la base qu’un président est requis, qui peut communiquer avec les différents partis et donc ne défie aucun parti, qu’il soit interne ou externe, d’autant plus que les conditions actuelles ne permettent pas l’arrivée d’un tel candidat, et s’il parvient à obtenir la première présidence, il sera une extension de l’actuel représente la crise.
Parmi les équations dont a parlé le Patriarche Al-Rahi, il ne doit pas ignorer sa référence au fait que les conditions du pays exigent que l’élection du Président de la République ait lieu au début de la période constitutionnelle et non à la fin, qui est identique aux positions que la partie française avait lancées plus d’une fois après la fin de la période constitutionnelle de l’explosion survenue dans le port de Beyrouth devrait être la plus présente dans cet événement, d’autant qu’elle est la mieux à même de exprimer le Jouer le rôle de médiateur entre les différentes parties.
En conclusion, tout ce qui a été dit jusqu’à présent sur lui à propos de l’élection présidentielle reste dans le cadre des désirs ou de la recherche des rôles, car la décision attend ce que sera l’image de la région au moment des élections, mais cette ne nie pas la présence d’indicateurs qui soutiennent l’hypothèse. Le président du centre est le même et attend les données supplémentaires que les prochains jours apporteront.
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