Tout ce qui est dit sur la colère des autorités de Rabat et leur mécontentement face au chantage et à la résistance de la France aux questions marocaines n’est qu’un « non-sens » à moins qu’il ne soit officiellement lié à l’action.
Je n’appellerai pas à changer les programmes scolaires au Maroc en remplaçant le français par l’anglais pour couper une fois pour toutes le « cordon ombilical avec la France » et ouvrir les Marocains au monde à travers le portail anglais. Il y a des spécialistes dans ces ateliers qui ont fourni des arguments suffisants. Je ne m’opposerai pas à la demande de modification de l’inscription des noms de commerces, d’entreprises et de départements en français sur les façades des bâtiments gouvernementaux et privés. C’est un problème qui nécessite la persuasion des « maîtres de la situation » afin de nettoyer les façades commerciales et administratives du colonialisme de langue française.
Je ne préconiserai pas de purifier les rues et ruelles de nos villes des noms de symboles du colonialisme français ou des noms faisant référence à des villages et lieux méconnus de France, comme si le Maroc était stérile et n’était pas un héritage de personnalités marocaines (en général et entières). ) aurait (domaines intellectuel, politique, artistique, sportif, militaire et littéraire) et n’a pas de noms de cymbales. La géographie marocaine peut l’appeler rues, places et ruelles dans les quartiers urbains. C’est un problème qui ne peut être résolu que si nous avons des conseils territoriaux composés d’élus honnêtes et jaloux du pays, et si nous avons une administration territoriale dont le cœur est à l’écoute du Maroc et non à celui de la France.
Je ne poserai pas ceci ou cela, posez juste ces questions en espérant que les jours à venir me mentiront :
Voici Tijefi, la liaison entre Casablanca et Marrakech. La France pourrait être intéressée par un accord, pas la Chine ou la Corée du Sud.
Et voici le projet ferroviaire annoncé entre Marrakech et Agadir. L’État pourrait le remettre sur un plateau d’or à la France plutôt qu’à l’Allemagne, à l’Autriche ou aux États-Unis.
Voici les installations d’élimination des déchets et les dépôts de déchets des grandes villes marocaines qui, selon l’annonce, seront gérés en concession et pourront être attribués à des entreprises françaises au lieu de la société canadienne Biotrin, à des sociétés scandinaves ou à des sociétés marocaines.
Et voici le tramway à Fès, Marrakech, Meknès ou Agadir (la discussion sur leur programmation dans ces villes a commencé). L’affaire pourrait être remportée par l’entreprise française choyée par les esclaves français au Maroc : Alstom, à la place de l’entreprise japonaise Mitsubishi, connue pour la construction du métro et du « Monorai », ou de l’entreprise russe Uralvagonzavod.
Il s’agit des frégates de la Royal Navy ou des avions de combat de l’armée de l’air marocaine, qui peuvent être achetés dans les ateliers militaires français plutôt que dans les ateliers américains, anglais ou russes.
Et voici les usines de dessalement d’eau de mer qui ont été construites le long de nos côtes pour combler le déficit hydrique du Maroc. On peut entendre dire que des entreprises françaises ont remporté leurs contrats au lieu de les confier à des entreprises israéliennes, qui, comme les entreprises espagnoles, ont une longue histoire dans le dessalement de l’eau et sont également réputées dans ce domaine.
Si Rabat s’en tient à sa position et empêche la France de monopoliser les richesses et les ressources du Maroc et empêche les entreprises françaises de conclure ces énormes transactions, alors le citoyen marocain découvrira que le gouvernement de Rabat leur a « bloqué la bouche et les bras ». Lorsque le gouvernement marocain inonde le monde de bruit et de clameurs au sujet de « prétendues tensions avec la France », puis que l’État s’incline et fait don de tous les grands ateliers aux entreprises françaises, cela relève du « mépris de l’intelligence des Marocains et de leur tyrannie ». « . .
Le Maghreb peut être adopté entièrement ou entièrement abandonné. Quant à la politique du « loup est interdit et l’argent est autorisé », nous en avons assez.
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