Au début de la lecture hebdomadaire de Raseef Al-Sahafa par Al-Ayyam, il a été déclaré qu’Abdelilah Benkirane, secrétaire général du Parti de la justice et du développement, « a détruit le mythe de la démocratie interne bejidiienne » en une minute lors d’une émission en direct sur le réseau social. réseau « Facebook ».
Selon Al-Ayyam, les données disponibles suggèrent que le secrétariat général de cette organisation du parti prend ses décisions en consultation, recourant parfois au vote pour résoudre le différend, ou à un soi-disant débat. Mais Benkirane a prouvé que c’est le contraire et que les déclarations et positions exprimées par le parti ne sont rien d’autre que ses pensées et opinions personnelles.
Selon Al-Ayyam, cela a été clairement exprimé dans une vidéo explicative publiée par Benkirane mardi dernier en réponse au mécontentement populaire écrasant d’associer le « tremblement de terre d’Al-Haouz » aux « péchés et transgressions individuels et politiques », en disant ce qui était dit dans la déclaration exprime des idées et le Secrétariat général n’a rien à voir avec cela ; Sauf ceux qui veulent reprendre son poste, et lui seul en est responsable.
Al-Ayyam a rapporté par ailleurs que le Maroc consacre un cinquième du budget annuel du royaume à la reconstruction des zones endommagées par le « tremblement de terre d’Al-Haouz », sur une superficie équivalente à celle des Pays-Bas et de la Belgique. Mais le défi que représente le Maroc n’est pas lié aux zones plates, mais plutôt aux hautes montagnes.
Le journal précise également que les données concernent environ 39,6 pour cent de la population totale du Maroc, ce qui, selon le recensement général de la population et de l’habitat de 2014, correspond à 13,4 millions de personnes et couvre 21 pour cent du territoire national total dans 41 régions et 738 collectivités territoriales.
L’hebdomadaire ajoute entre autres en couverture que le tremblement de terre qui a frappé le Maroc a causé environ 6 millions de tonnes de destructions, ce qui équivaut à la quantité d’ordures ménagères que les Marocains déversent à travers le pays au cours d’une année entière.
Dans « La Semaine », on lit que le lycée Descartes de la capitale marocaine, rattaché à la mission française, a réglé une sanction administrative contre un professeur d’origine algérienne qui, au plus fort de la crise existante entre Rabat et le Maroc, a tué un Un étudiant marocain avait attaqué Paris et le journal ajoutait : « Où est le ministère de tutelle ? » Ou bien l’affiliation française de Chakib Benmoussa l’empêche-t-elle d’interférer dans de tels événements touchant les enfants marocains ?
La Semaine rapporte également que lors des célébrations de la fête nationale de son pays à Rabat, l’ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite a surpris les personnes présentes en mentionnant que Riyad effectuait un pont aérien pour ensuite acheminer l’aide au Maroc suite au « séisme du 8 septembre ». Si Rabat n’a divulgué aucune information à ce sujet, même les remerciements adressés au roi Mohammed VI l’ont fait. dirigés vers l’étranger, seulement quatre pays, sans compter l’Arabie Saoudite.
La même plateforme hebdomadaire a également publié la nouvelle d’une nouvelle poursuite pénale contre Mohamed Al-Farraa, ancien président de la municipalité d’Essaouira, ordonnée par le juge d’instruction des délits monétaires près la cour d’appel de Marrakech en cas de libération de la fermeture de l’établissement. on frise les allégations de « détournement et gaspillage de l’argent public ». La demande du procureur adjoint tendant à la détention provisoire du prévenu a été rejetée.
La semaine a également été centrée sur la présence de « criminels impitoyables… de commerçants de crise qui ont participé au tremblement de terre d’Al Haouz ». Dans ce contexte, elle a cité certains militants très suivis sur les « réseaux sociaux » qui affirment qu’ils sont exposés à des stratagèmes frauduleux de la part de personnes qui exploitent les dons sous prétexte de « donner un coup de main » pour collecter ce dont ils font preuve de solidarité. Les personnes concernées veilleront à le faire avant de disparaître sans laisser de trace. Pas une trace.
Concernant le « contrat de nettoyage à Bouznika » entre la société « Ozone » et la collectivité territoriale, Al-Osboa a indiqué que la mairie a décidé de saisir la Cour d’appel de Casablanca pour examiner l’existence de déséquilibres. J’ai cherché à écouter les employés au sujet de l’accord.
Selon Al-Mashal, Abdallah Boussouf, secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger, a déclaré que les Marocains du monde entier défendent l’image du Royaume en affrontant les médias hostiles au Royaume. Parmi ceux-ci ressortent les arguments de Samira Sitail, Rashida Dati et Jad El Maleh, qui ont rejeté la duplicité en choisissant d’être Marocains francophones. Il a ajouté : « Le patriotisme n’est pas un sujet de négociation, la souveraineté nationale et le caractère sacré du Maroc sont une ligne rouge, et le sens de la solidarité et du soutien mutuel est l’un des éléments de la constitution génétique unique des Marocains du monde ».
Le sceau de « Al-Watan Now » et une déclaration de Moncef Al-Yazghi, chercheur en politique sportive, affirmant que « la relation entre le sport et la politique est illégitime et n’existe plus après la fin de l’intérêt ». Certains hommes politiques exploitent horriblement le sport. dans de nombreuses régions du monde en valorisant leur image et en gagnant un capital symbolique. ; Alors que l’homme politique est tenu de servir le sport en élaborant une politique publique du sport qui s’étend sur une période d’au moins 20 ans et reste constante malgré le changement de responsables, cela manque au Maroc et la responsabilité s’étend à tous les gouvernements successifs.
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