Le site estime toutefois que la question ne sera pas à l’ordre du jour en France de sitôt. Les sessions du mois dernier sur « L’intelligence artificielle pour les écoles » ont montré l’ambition du ministère de l’Éducation d’utiliser les nouvelles technologies dans l’éducation. Il a été souligné que le rôle humain sera toujours au centre du travail.
Le site Internet indique que le jour où les robots remplaceront les enseignants n’est pas encore arrivé, même si des programmes dotés d’intelligence artificielle sont capables d’assister l’enseignant pendant ses cours et que six solutions innovantes pour l’apprentissage du français et des mathématiques seraient recherchées et développées dans les écoles primaires.
Marie-Christine Levitt, présidente d’une fondation spécialisée dans l’éducation, a déclaré que l’une des applications les plus avancées appelée « Lalelo » peut s’adapter au niveau de chaque élève pour lui fournir la pratique appropriée dans les cours de lecture, soulignant que l’enseignant ne peut être réalisé qu’avec un très petit nombre d’outils. Étudiants dans une section.
Le site indique qu’une autre application est en développement qui permettra de détecter les élèves en difficulté, d’autant plus que des dizaines de milliers d’élèves quittent l’école chaque année sans diplôme en raison de difficultés dues aux différences imputables aux personnes. . « Chacun apprend et se souvient, mais de manière différente », précise Guillaume Lebussy, fondateur du site et président de l’association « Intelligence artificielle pour les écoles ».
« Ce qui prévient le décrochage, c’est d’identifier les élèves en difficulté tout en restant à la hauteur des élèves les plus intelligents de leur niveau », explique Lebussy. Le principe sur lequel repose l’application est que si un élève souhaite approfondir certains points, d’un simple clic sur le bouton, il peut le signaler au professeur en temps réel. L’application vise également à permettre aux enseignants de mieux connaître leurs élèves, précise le site.
L’intelligence artificielle pour la correction
Loboche a déclaré que l’intelligence artificielle est importante dans la notation des examens car « le robot aide l’enseignant à noter les devoirs des élèves et à corriger 80 % de la copie de l’examen, et l’enseignant ajoute simplement le dernier commentaire, ce qui permet de gagner un temps précieux ».
De ce point de vue, selon Bushi, un obstacle demeure, à savoir le manque de données suffisantes pour entraîner la machine, sans lesquelles il est impossible de développer des outils puissants. Il suggère cependant de scanner anonymement toutes les copies du diplôme d’études secondaires pour créer des fichiers personnels, et un algorithme pourra détecter les enfants qui ont des problèmes de… dyslexie ou de dyscalculie.
Qu’en est-il du rôle de l’enseignant ?
« Il y a une grande crainte dans le corps enseignant quant à l’utilisation de ces outils technologiques, et beaucoup craignent que cela conduise à la disparition des humains et à leur remplacement progressif par… des machines. »
Claude Teussier, fondateur de Magic Makers, estime que la personnalité de l’enseignant ne va pas disparaître, mais que son rôle va évoluer. « Il sera plus qu’un simple coach, accompagnant les élèves en difficulté et élevant le niveau des élèves qui ont besoin de motivation. »
» يعمل الطلاب في المنزل على حاسوب أو جهاز لوحي، مما يحرر وقتا في الفصل الدراسي لتطوير الإبداع والتفك ير النقدي والعمل التعاوني، وهذا في النهاية هو المطلوب dans la vie ».
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