Dubaï, Émirats arabes unis (CNN) – Début 2018, la Fédération internationale de football (FIFA) s’est efforcée de mettre fin aux cas de controverses et de critiques qui ont suivi les décisions de l’équipe arbitrale avec l’introduction de la technologie de l’arbitre assistant vidéo (VAR). puisqu’il permet à l’arbitre de l’arène de visualiser certains cas, de prendre une décision finale ou d’annuler une décision précédente.
Après que cette technologie ait été introduite dans divers tournois à travers le monde, il y a eu des bons et des mauvais moments, mais plus d’une fois elle a contribué à décider du résultat, notamment lors du comptage des buts ou de leur annulation en raison de hors-jeu ou d’erreurs.
Qu’est-ce que la technologie « VAR » ?
L’arbitre dit assistant vidéo est une salle équipée d’écrans connectés à des caméras qui filment le match sous différents angles et dans laquelle se trouvent trois arbitres qui apportent aide et conseils à l’équipe d’arbitres présente sur le terrain en permettant aux arbitres de visualiser images suspectes.
Il peut être utilisé dans les cas suivants : buts, cartons rouges, tirs au but et vérification de l’identité du fautif.
La première édition de la Coupe du Monde à utiliser la technologie « VAR »
La Coupe du monde 2018 en Russie est la première édition à utiliser la technologie de l’arbitre assistant vidéo.
L’équipe arbitrale y a eu recours dans plus d’un match, contribuant au calcul et à l’annulation des buts et accordant plus de dix pénalités, tout en annulant certaines pénalités après que l’arbitre y ait eu recours pour vérifier leur authenticité.
Il a atteint un haut niveau de justice et a joué un rôle important dans l’annonce des vainqueurs des jeux.
Le premier cas d’arbitrage où cette technique a été utilisée a été le match entre la France et l’Australie en phase de groupes, lorsque l’arbitre a confirmé une infraction du joueur australien Josh Risdon contre l’attaquant français Antoine Griezmann et a accordé un penalty en faveur de ce dernier.
Le premier but refusé en utilisant cette technique a eu lieu lors du match entre l’Iran et l’Espagne en phase de groupes lorsque l’Iranien Saeed Ezzat Allahi a marqué à la 60e minute, mais après être revenu à la technique, le but a été refusé en raison d’un hors-jeu reconnu, tandis que le premier but a été marqué. l’utilisation de cette technique était en faveur de la Corée du Sud et de l’Allemagne.
La technologie de l’arbitrage vidéo est intervenue lors du match entre le Brésil et la Belgique lors des tours de qualification lorsque l’arbitre de l’Arena a refusé d’accorder un penalty en faveur de « Samba » après que le défenseur Kompany soit intervenu au pied de l’attaquant Gabriel Jesus dans la surface de réparation. après consultation de l’arbitre assistant vidéo.
La Belgique s’est qualifiée pour les demi-finales aux dépens du Brésil après une victoire 2-1.
Cette technique a provoqué des réactions mitigées, notamment entre les supporters marocains et espagnols, lorsque l’arbitre y a eu recours pour confirmer la validité du but de l’équipe nationale espagnole contre le Maroc à la 91e minute de la phase de groupes après que l’arbitre assistant ait augmenté son but. hors-jeu, mais l’arbitre a jugé que le but était correct.
Les fans du « Matador » étaient reconnaissants pour la technologie, tandis que les fans des « Lions de l’Atlas » ont attaqué la technologie et le mécanisme pour leur utilisation lors de la Coupe du monde.
Présentation d’une technologie de détection de hors-jeu semi-automatique à la Coupe du monde
L’affaire ne s’est pas arrêtée à la technologie de l’arbitre assistant vidéo, puisque la FIFA a approuvé pour la première fois l’introduction d’une autre technologie « semi-automatique » pour détecter les infiltrations lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar.
Cette nouvelle technologie utilise 12 caméras installées sous le toit du stade pour suivre le mouvement du ballon et jusqu’à 29 points de données fonctionnant à une vitesse de 50 fois par seconde et attribués à chaque joueur sur le terrain pour calculer le mouvement du ballon. les points de données incluent également la position exacte où se trouvaient les joueurs. Ce sont les côtés des joueurs et leurs limites qui ont été impliqués dans la position de hors-jeu.
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