Le 9 juin, le président français Emmanuel Macron a surpris tous les observateurs de la vie politique française et a dissous l’Assemblée nationale. Quelques jours plus tard, il mettait en garde contre « le danger d’une guerre civile ». et faire passer le message ? Le chaos, en France il y a moins de deux siècles ?
C’est par cette introduction que commence la revue Le Point – un reportage rédigé par Joseph Le Cure – dans lequel il rappelle l’histoire de la nomination du roi Charles Blind comme roi en août 1829, qui attisa la colère des élus, dont la majorité refusa de faites confiance à Polignac.
Les électeurs écrivirent une lettre au roi déclarant : « La Charte fait de la coopération constante entre les opinions politiques de votre gouvernement et les souhaits de votre peuple la condition essentielle de la conduite normale des affaires publiques. Notre sincérité et notre dévouement nous obligent à vous dire qu’une telle coopération n’existe pas.
Dissoudre, puis mépriser
Charles a lancé un appel aux Français dans le journal de propagande Le Moniteur, dans lequel il accuse les représentants du Conseil dissous d’avoir « mal compris ses intentions » et exhorte les électeurs « à ne pas se laisser tromper par ce que font les ennemis malveillants de leur bien-être ». » . »
Le roi conclut son appel par ces mots : « Votre roi, c’est celui qui vous demande… C’est un père qui vous appelle. Faites votre devoir et je saurai faire mon devoir », mais ses expressions poignantes restèrent vaines.
Les résultats ont montré le retour de représentants plus libéraux à la Chambre des députés, de sorte que la dissolution a aggravé la situation des monarchistes puisque les Français ont envoyé une majorité plus libérale à la Chambre avec un plus grand nombre d’opposants.
L’auteur explique sarcastiquement que toute similitude avec l’actualité n’est qu’une pure coïncidence, puisqu’il sait que ces élections de juillet représentent une victoire de l’opposition, dont le nombre de députés est passé de 221 à 274 députés anti-Polignac, mais le roi a insisté pour que nommer Polignac.
Barricades à Paris
Je ne peux pas accepter la défaite, Charles […] « Si je cède à leurs demandes maintenant, ils finiront par nous traiter comme ils ont traité mon frère. »
Cela a eu un impact majeur sur la population parisienne, et le 27 juillet, des barricades sont apparues dans les faubourgs du Temple et de Saint-Antoine, et trois jours plus tard, Paris tombait aux mains des rebelles, dans ce qu’on a appelé la « Glorieuse Révolution ». des Trois », tandis que l’hymne national est chanté dans les rues et que les drapeaux tricolores flottent fièrement.
Après la fuite de Charles, le drapeau blanc sera définitivement remplacé.
« Nerd du Web primé. Sympathique expert de l’Internet. Défenseur de la culture pop adapté aux hipsters. Fan total de zombies. Expert en alimentation. »