Date de sortie:
06 août 2022 10 h 25 Méridien de Greenwich
date de mise à jour: 06 août 2022 13:15 Méridien de Greenwich
Aujourd’hui, samedi, un reportage a indiqué que l’Algérie avait élaboré un nouveau plan pour contrer les groupes armés extrémistes dans la région du Sahel en Afrique.
Le rapport, publié par le site français Monde Afrique, a déclaré que « ce plan représente un changement notable dans la politique algérienne par rapport à ces dossiers » et a expliqué qu’il était « en partenariat avec le Niger et la Mauritanie ».
Le site Web a souligné que « S’étant appuyée sur le non-alignement depuis l’indépendance jusqu’à la fin des années 1980, la diplomatie algérienne a reculé et s’est paralysée car elle était liée par le principe de (non-ingérence) ».
Il a également souligné que « la multiplicité des groupes d’intérêts dans une relation de politique étrangère (présidence, armée) rendait difficile de parler de diplomatie algérienne ».
Cependant, le rapport précise que « dans ce contexte particulier, au cours des deux dernières années, les autorités algériennes ont tenté de contrer l’explosion de la situation dans les pays du Sahel et d’éviter l’impact des mouvements de groupes extrémistes sur le sol algérien ». «
Il a expliqué les manifestations du retour de la diplomatie algérienne sur le devant de la scène par rapport à ces actes.
Il a estimé qu' »en raison de ce passé, le colonel à la retraite Mohamed Shafik Mesbah, ancien membre du ministère de la Sécurité et de l’Information, a été l’une des victimes de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika et dirige aujourd’hui ce plan pour la région du Sahel africain ».
Selon le Monde Afrique, cet officier influent a préparé un projet visant à réguler les relations avec les pays voisins du Sahel et à apporter une aide concrète pour atteindre l’objectif de « soft power ».
Elle a déclaré: « L’Algérie recherche une solution non violente à long terme qui permettra à la population de se déplacer et d’assurer une stabilité durable au Sahel ».
Elle a expliqué que « les deux premiers pays invités à participer à la mise en œuvre du nouveau plan sont la Mauritanie et le Niger ».
Le site français a souligné que « l’arrivée au pouvoir de Mohamed Ould Ghazouani à Nouakchott et de Mohamed Bazoum à Niamey, les personnalités les plus respectées de la lutte contre le terrorisme dans la région, a facilité la mise en œuvre de cette nouvelle approche pour l’Algérie ».
Il a estimé que « la nouvelle approche algérienne de la lutte contre les groupes extrémistes dépend de la vision du président algérien Abdelmadjid Tebboune », qu’il a fermement affirmé lorsqu’il a déclaré que « l’Algérie ne permettra pas que le Mali devienne un refuge pour les militants ».
Le rapport ajoute : « En mai 2021, peu après l’annonce du retrait de la force « Barkhane » et de la France du Mali, le président Tebboune a annoncé que l’Algérie ne permettrait pas que le Mali devienne un refuge pour les groupes jihadistes ou le pays. » se divise.
Cette puissante déclaration intervient quelques mois après l’adoption d’une nouvelle constitution qui permet désormais à l’armée algérienne d’intervenir à l’étranger et de légaliser cette opération, selon le Monde Afrique.
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