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Le chef de la Knesset israélienne qualifie de mauvais l’accord nucléaire que les grandes puissances veulent signer avec l’Iran, et les pays de l’Union européenne attendent les résultats des élections générales italiennes, qui sont attendues le 25 de ce mois. Ces questions et d’autres liées à l’Ukraine et au Moyen-Orient figurent parmi les dossiers couverts par les magazines français cette semaine
Le monde a perdu patience avec l’Iran
C’est ce qu’a dit Mickey Levy, président de la Knesset israélienne, mettant en garde contre l’impact de l’accord nucléaire iranien sur la communauté internationale. Levy pensait que cet accord médiocre et incomplet conduirait finalement à une augmentation de l’utilisation de la force et affecterait le Moyen-Orient et le monde de manière plus négative.
Levy a souligné qu’Israël sait très bien se défendre et fera tout son possible pour empêcher l’Iran d’acquérir une bombe nucléaire, et à son avis, il est nécessaire que le monde comprenne qu’Israël est la base avant de l’ouest est la région
L’Italie vote : l’Europe retient son souffle
Nicolas Pavraz a écrit dans le magazine Le Point que les prochaines élections législatives en Italie le 25 de ce mois sont perçues comme un tournant pour ce pays, qui a été durement touché par la crise sanitaire, la crise de l’euro et la crise des migrants, considérant que à venir Le processus électoral est important et crucial aux yeux de Bruxelles car c’est un test majeur des conséquences de la guerre en Ukraine et de sa volonté de faire les efforts nécessaires pour défendre la liberté
L’auteur a expliqué que les élections du 25 septembre pourraient conduire à un regain d’extrémisme et d’instabilité politique en Italie, et qu’en cas de victoire de la coalition de droite dirigée par Giorgia Meloni, les relations italiennes et l’Union européenne connaîtraient des tensions et une éventuelle stagnation de son programme extrémiste et la possibilité d’un retour de la menace populiste en Europe.
Comment l’Union européenne formera-t-elle les soldats ukrainiens ?
Celsa Cordevad a rapporté dans le magazine L’Express que l’Ukraine a perdu au moins 9 000 de ses soldats depuis le début de l’invasion russe, considérant que l’Union européenne s’emploie à assurer ses renforts aux Ukrainiens, alors que Bruxelles a donné le feu vert mardi dernier à l’augmentation de son soutien militaire à Kyiv, et des soldats ukrainiens sont entraînés à l’intérieur et à l’extérieur de l’Ukraine
La formation en Ukraine est dangereuse et sensible
Federico Santopinto, directeur de recherche à l’Institut des relations internationales et de la stratégie européenne, estime que l’Union européenne identifiera un groupe de pays pouvant conduire la formation des soldats ukrainiens sur son sol, la Slovaquie, la Roumanie ou la Pologne, car le processus de formation en Ukraine est dangereux à cause des bombardements russes, mais la tâche peut être compliquée. » L’article dans lequel certains diplomates européens estimaient que le projet de formation militaire est très délicat au niveau national et international
La Méditerranée est devenue un cimetière pour les migrants irréguliers et les autorités tunisiennes ne font rien
Céline Losado a écrit dans le magazine Lopez que la situation politique en Tunisie, en plus de la situation économique, durement touchée après la révolution de 2011 et les années de terrorisme et d’épidémie, a conduit des milliers de Tunisiens à ravager le pays par les soi-disant bateaux de la mort. et ceux qui ne voulaient plus s’installer sur la rive européenne de la Méditerranée Non seulement les jeunes chômeurs mais aussi les bateaux de la mort étaient remplis de familles et d’employés qui ne pouvaient plus payer leurs factures et préféraient risquer leur vie et quitter le pays, dit le écrivain.
Le journal a souligné que plus de 12 000 Tunisiens ont immigré de la région de Tataouine depuis le début de l’année, et selon un militant des droits civiques, la politique du président Saïd n’encourage pas les Tunisiens à rester car il manque une stratégie sérieuse pour changer du pays pour faire progresser l’économie.
Influence chinoise au Moyen-Orient
On lit dans Le Courier International que la Chine tente de concrétiser son nouveau projet de Routes de la Soie et compte tenu des évolutions géopolitiques au Moyen-Orient, selon l’auteur, Pékin redouble d’efforts pour étendre ses liens économiques avec les pays arabes et la présence chinoise est susceptible d’augmenter dans la région après le retrait américain
Relations avec l’Iran et projets avec les États du Golfe
L’ironie des relations avec la Chine L’auteur affirme que la Chine importe la majeure partie du pétrole iranien et, malgré ses bonnes relations avec l’Iran, a accru sa coopération économique avec l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Qatar, le Koweït et Oman, notamment pour construire infrastructures. , dans les secteurs des télécommunications, de la haute technologie et de l’énergie, qui sont au cœur de l’ambitieuse initiative chinoise « la Ceinture et la Route ».
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