L’ambassade de France au Maroc a publié un communiqué démentant officiellement ce qui avait circulé à ce sujet, à propos « d’ingérence des autorités françaises pour empêcher un invité de participer à un journal télévisé diffusé par une chaîne de télévision française », et les a qualifiées d' »allégations ». .
Selon la vidéo diffusée jusqu’à présent sur les réseaux sociaux, Farhat Mhenni s’est rendu au siège de la chaîne, proche des autorités françaises, en réponse à une invitation de la chaîne à participer à une émission consacrée à la question des tribus en L’Algérie, où il a d’abord été reçu et accueilli et où les dispositions techniques ont été prises.
Cependant, alors qu’il était en route vers le studio dédié au programme au siège de la station, Farhat Mhanni s’est fait dire par l’un des responsables de la station de retirer son nom de la liste des invités du programme, surprenant l’invité, qui avait confirmé cette autorisation et un invitation officielle à participer au programme.
À un moment donné, lorsque Farhat Mhanni a demandé une explication sur la raison de l’interdiction, le responsable est apparu confus sur la chaîne, qui a informé l’invité que sa présence avait été annulée et a indiqué qu’il n’avait pas plus de détails.
Selon les informations diffusées, qui ne sont pas crédibles, la décision d’annuler cette interview télévisée est intervenue après que le directeur de la chaîne « CNEWS », Yannick Polloré, soit personnellement intervenu sur la base d’un appel des hautes autorités françaises. Le président Abdelmadjid Tebboune « menaçait avec avertissement préalable d’annuler la visite du Premier ministre français Elizabeth Born à Alger si l’interview de Farhat Mhenni est autorisée à être diffusée »
Cependant, l’ambassade de France à Rabat n’était pas d’accord, car l’incident avait menti sur les détails, et a tenté de trouver une issue à ce dérapage et d’éliminer les soupçons d’ingérence dans le travail journalistique, affirmant que la France s’engage à soutenir la liberté s’engage à la liberté liberté de la presse et de la liberté d’expression dans le monde, notant que « le pluralisme des médias, le droit d’être informé, d’avoir des informations et d’exprimer des opinions critiques sont essentiels au débat démocratique ».
Selon le communiqué de l’ambassade de France au Maroc, « la défense de ces principes, que la France s’applique à elle-même, est aussi l’une des priorités de sa politique étrangère », indique le même communiqué sur la démocratie et la liberté d’expression.
La vérité de ce qui a été dit dans la communication est ce que les pays démocratiques qui croient au droit à la liberté d’expression devraient avoir, comme le dit la communication, sauf que dans nos relations avec la liberté d’expression et les principes fondamentaux, sur lesquels elle repose de ne pas être sélectif la justice cosmique se construit et la viole quand on veut et s’oppose à qui on veut faire entrer dans la maison d’obéissance, car c’est l’un des signes fondamentaux de la schizophrénie, ni plus ni moins. Et qui perdrait tôt ou tard sa crédibilité auprès de son propriétaire.
Enfin, disons-nous, l’annonce de l’ambassade de France à Rabat reste avant tout « une excuse plus laide qu’un faux pas ».
Abou Elias
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