Hier dimanche, la France a marqué le septième anniversaire des attentats du 13 novembre 2015 par une cérémonie où la Première ministre Elizabeth Bourne a rendu hommage aux victimes et sur les différents lieux où se sont déroulés les attentats, à Paris et St Denis, Marine Le Pen est intervenue , l’ancien président de l’Assemblée nationale et leader de la faction d’extrême droite au Parlement français, cible à nouveau les immigrés illégaux, principalement des Algériens.
Devant le Stade de France aux portes de Paris et les cours extérieures alors prévues des cafés et de la salle de concert du Bataclan dans l’est de la capitale, la même cérémonie s’est répétée presque dans la matinée avec lecture des noms des victimes. sortie, des gerbes et une minute de silence en l’honneur des 130 morts et plus de 350 blessés dans les pires attentats terroristes que la France ait connus dans son histoire et adoptés par l’organisation terroriste ISIS.
Le procès historique des auteurs de ces attentats, qui a duré dix mois, s’est terminé le 29 juin.
Le tribunal correctionnel spécial de Paris a condamné Salah Abdeslam, le seul membre survivant du groupe armé qui a perpétré les attentats, à la réclusion à perpétuité, la peine la plus lourde du code pénal français. Les 19 autres accusés, « dont six ont été jugés par contumace, dont cinq auraient été assassinés », ont été inculpés de peines de prison allant de deux ans à la réclusion à perpétuité.
Dimanche aux côtés de Born, la maire de Paris Anne Hidalgo et les responsables des associations de familles de victimes.
L’ancien président français François Hollande, sous la direction duquel les attentats ont eu lieu, a écrit dans un tweet : « Aujourd’hui, je pense à toutes les victimes des attentats et à toutes les vies perdues. A tous ceux qui vivent chaque jour en l’absence d’un être cher. tous les survivants. Le temps n’efface ni la mémoire ni la douleur.
De son côté, Marine Le Pen, l’ancienne présidente de l’Assemblée nationale et chef de file du groupe d’extrême droite au Parlement français, a continué à s’en prendre aux immigrés clandestins, notamment aux Algériens.
Au cours de son discours, Le Pen a critiqué les immigrés illégaux au parlement français, en particulier les Algériens qui souhaitent quitter le sol français.
Le président de l’Assemblée nationale française, Jordan Bardella, a inclus l’Algérie dans son discours lors de la session tenue au Parlement vendredi dernier.
Marine Le Pen n’hésite pas toujours à inclure l’Algérie dans ses discussions sur l’immigration clandestine, car le soutien aux clandestins installés en Europe a toujours été un problème pour la politique française.
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