Ah la France ! Votre jeu exposé – Parliament.com

L’agence « Agence France Presse » poursuit son approche biaisée du Maroc en abordant, dans certaines circonstances, des questions affectant les affaires intérieures et extérieures du royaume pouvant soulever plus d’un point d’interrogation nécessitant une clarification sur le but de ces attentats, mis au jour dans notamment par l’agence de presse officielle Maarouf, promeut les positions et la politique de l’Etat français et explique ses motivations et son parcours.

La plupart de ceux qui suivent la ligne éditoriale de cette agence ont remarqué une escalade sans précédent dans leur assaut contre le royaume ces derniers mois, soulevant des questions préoccupantes principalement avec les affaires intérieures du pays, sans tenir compte des règles de caveat et du respect dû aux institutions souveraines de l’État marocain et au mépris également des contrôles professionnels du travail journalistique qui demandent sobriété, recherche et recherche, ce qui n’aurait pas eu lieu sans le feu vert de l’État français, notamment du Quai d’Orsay.

Centré sur le Maroc dans « l’affaire Pegasus » et faisant allusion à son implication dans l’espionnage de personnalités françaises et européennes et de « défenseurs des droits de l’homme », s’interrogeant sur la nature des affaires pénales encore à la mode dans les tribunaux marocains et tentant de faire passer les auteurs présumés pour des victimes Répression et abus malgré l’existence de preuves les condamnant ainsi que certaines victimes de leurs crimes. Dans la position partiale du Parlement européen à l’égard du Maroc (préparée dans certains quartiers généraux du renseignement européen, notamment français) et la fraude par l’implication de certains cas (Mohamed Zayan et Mohamed Baasso), que cette institution n’a pas du tout abordés, une déformation des déclarations d’acteurs marocains politiques, des droits de l’homme et collectifs (Aisha Al-Kalaa, Rashid Hanouni…) pour les mettre en sourdine avec les objectifs de l’Etat profond en France. Toutes ces méthodes font clairement apparaître hors de tout doute raisonnable que les articles, « analyses » et couvertures de « France Presse » sur les affaires marocaines entrent dans la catégorie des signaux anti-Maroc, disant que Paris a des cartes de pression pour agir contre, son royaume, ses Centres de décision sont difficiles à « apprivoiser ».

De là, il est clair que l’État français, sous le choc des déboires qu’il a subis dans un groupe de pays africains, des retombées économiques de la guerre russo-ukrainienne et de la crise sociale interne étouffante, est aujourd’hui confronté à une crise psychologique qui fait la guerre au Maroc en afin de prévenir une tendance à l’émancipation de son hégémonie. Paris n’hésite pas à convaincre l’Agence France Presse de négocier avec les pays craignant de revenir sur leur volonté. Et Paris n’est pas gêné d’activer sa cinquième colonne, plantée depuis des décennies dans les rouages ​​de l’économie et des médias de ces pays, pour battre et déstabiliser ses rangs internes, que ce soit par vengeance ou par souci d’attente et de soumission.

En un mot, le jeu, la stratégie et la tactique de la France contre le Maroc ont été exposés, révélant son incapacité à suivre la dynamique de l’histoire et des peuples, et contrairement à certains pays, elle est forte dans ses institutions et sobre dans sa politique.

Édith Desjardins

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