Au milieu des craintes d’une épidémie, un virus « mortel » a été découvert !

En France, des experts de la santé ont identifié pour la première fois une maladie qui pourrait tuer jusqu’à quatre personnes sur dix.

La tique qui transmet la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHF) a été trouvée à la frontière du pays avec l’Espagne.

Cette maladie est endémique en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie et dans les Balkans et a été signalée sporadiquement dans les régions méridionales de l’Europe occidentale, comme en Espagne.

Les experts préviennent depuis longtemps que le changement climatique va propager la maladie vers le nord de l’Europe.

Il a été démontré que les tiques vivantes collectées sur le bétail de la région des Pyrénées orientales transmettent la maladie.

Les responsables de l’OMS ont annoncé que la FHCC était l’une des neuf maladies prioritaires cette année en raison de sa menace potentielle.

La CCHF se transmet principalement entre les personnes par les piqûres de tiques, mais les personnes peuvent également être infectées par contact avec les fluides corporels de patients infectés.

La maladie présente initialement des symptômes similaires à ceux d’Ebola, notamment des douleurs musculaires, des douleurs abdominales, des maux de gorge et des vomissements.

Des saignements du nez ou des capillaires des yeux et de la peau peuvent également survenir.

D’autres symptômes du virus qui apparaissent soudainement comprennent la fièvre, les étourdissements, les douleurs et raideurs au cou, les maux de dos, les maux de tête, les yeux douloureux et la sensibilité à la lumière.

Il n’existe pas de vaccin et le traitement vise à maintenir la personne en vie suffisamment longtemps pour que son corps puisse combattre l’infection.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, les précédentes épidémies de CCHF ont tué entre 10 et 40 pour cent des personnes infectées.

Il est à noter que des cas d’infection par le virus CCHF chez l’homme ont déjà été détectés en France, mais jusqu’à présent, tous ces cas ont été importés de l’étranger.

« Aucun cas original n’a été détecté », a déclaré l’agence gouvernementale française Santé Publique France en annonçant la découverte. [عدوى مكتسبة على الأراضي الفرنسية] Jusqu’à présent chez l’homme en France.

Les autorités sanitaires soupçonnent depuis longtemps que les tiques associées au CCHF pourraient se cacher chez les animaux sauvages et domestiques en France, sur la base de tests démontrant que les animaux d’élevage avaient développé des anticorps contre le virus.

Des cas d’infections humaines par la FHCC ont été signalés à plusieurs reprises en Espagne voisine, avec douze cas entre 2013 et août de l’année dernière, dont quatre mortels.

En août de cette année, l’agence de surveillance des maladies de l’Union européenne a signalé deux cas de FHCC en Macédoine du Nord, dont un mortel.

Denise Herbert

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