Bernardin de Saint-Pierre est un écrivain français qui aspirait à fonder une république. je connais son histoire


écrit Abdul Rahman Habib

Samedi 21 janvier 2023 17h00

Aujourd’hui marque l’anniversaire de la mort de l’écrivain français Bernardine de Saint PayR., qui a quitté notre monde le 21 janvier 1814, est l’auteur du célèbre roman « Paul et Virginie », traduit plus tard en arabe par plusieurs traducteurs et écrivains, et d’un conte romantique sur une histoire d’amour qui s’est déroulée en France.

Bernardine de Saint-Pierre était non seulement romancière mais aussi botaniste. Dans sa jeunesse, il avait des sentiments doux, un tempérament nerveux, et traquait beaucoup l’imagination jusqu’à ce qu’il aspire à instaurer une république des misérables infortunés afin qu’il en fixe la loi. et organisent leur vie pour leur garantir le bonheur de la vie, et répète ce que pense Jean : Jacques Rousseau, qui croit que les gens doivent revenir à leurs instincts originels pour vivre une vie pure et heureuse sous les lois de l’univers édicté par les lois des créateurs de l’univers, tandis que Bernardine croyait qu’un nouveau système devait être créé pour que les humains combattent la cruauté et le fléau de la vie.

Il voyagea avec un de ses oncles et fut capitaine d’un navire marchand vers les îles françaises de la Martinique, mais revint chargé de soucis et de haine de la vie, à tel point que la haute idée de fonder une république pour les misérables lui revint à l’esprit quand il a entendu les missionnaires parler de leurs voyages vers la terre aride, jusqu’à ce qu’il veuille suivre leurs traces pour guider les misérables ignorants. Il est allé à Malte pour chercher sa vie mais il a été menacé par les Turcs alors il est retourné et a commencé à vivre des leçons d’arithmétique qu’il avait l’habitude de donner à ses étudiants.

Bernardin de Saint-Pierre a remporté le prix de l’Académie de Besançon en 1803 après JC et a été élu membre de l’Académie de la langue française et est décédé en 1814.

Son roman Paul et Virginie a été publié en France en 1788 et traduit en arabe par le regretté grand écrivain Mustafa Lotfi Al-Manfaluti, et il était également connu sous un autre nom, à savoir Al-Fadila.







Roselle Sault

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