Daccache a reçu le grade de chevalier des mains de l’ambassadeur de France de la Légion d’honneur française

L’État français, par l’intermédiaire de son ambassadrice Anne Griot, a décerné le grade de Chevalier de la Légion d’honneur française au président de l’Université Saint-Joseph, Salim Daccache, lors d’une cérémonie à l’ambassade de Beyrouth en présence du ministre de l’Éducation, le juge Abbas al-Halabi, et des présidents et Les vice-présidents de l’Université Saint-Joseph et les doyens Les directeurs, la famille de Daccache et plusieurs de ses amis.

Ghraoui a noté « l’appréciation de Daccache pour son engagement total en faveur du dialogue interreligieux, de l’éducation, de la francophonie et de la construction d’un État civique moderne et inclusif » et l’a décrit comme « un homme de conviction et de dialogue travaillant au service d’une entité multiconfessionnelle et pacifique Le Liban, un homme qui a su appliquer les principes de la formation jésuite pour améliorer la qualité de vie. » Éducation et Excellence Le Père Daccache est un ami de la France, un farouche défenseur de l’éducation en langue française et un porteur d’universalité et de valeurs communes ​parmi les peuples du monde, « comme elle le dit ».

Il abordait « sa lutte inlassable pour promouvoir le dialogue islamo-chrétien, notamment à travers l’organisation de la première célébration interconfessionnelle de la Journée nationale de l’Annonciation à l’école publique Notre-Dame, et son amour de la musique, du cinéma, de la photographie et son goût pour l’art ». en général. »

Après avoir reçu la Légion d’honneur au nom de l’Etat français, Daccache a répondu par un mot exprimant sa joie de cette appréciation et dédiant « cette grande récompense à la lutte pour le renouveau de l’Etat libanais ». Il a déclaré : « Je suis honoré de rejoindre une communauté dédiée au bien commun, à la francophonie et à l’humanité, et je m’engage à lutter pour l’édification de l’État citoyen, pour le dialogue interreligieux et l’accompagnement social des plus démunis. . Je salue la coopération franco-libanaise en matière d’éducation, soutenant une francophonie forte de millions de ses locuteurs et dédiée au Liban comme terre de liberté, développer la conscience éclairée de chacun, car la langue française est devenue plus qu’un simple moyen de la communication, c’est sa « maison », comme disait le recteur de l’université.

Denise Herbert

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