Des entreprises étrangères enchérissent des milliards de dollars pour acquérir la raffinerie Samir et le parquet du tribunal de commerce

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Le Maroc a reçu 15 offres de plusieurs pays pour acquérir la raffinerie de Samir et tous ses actifs, qui appartenaient au milliardaire saoudien Mohammed Al-Amoudi.

Selon Al-Sharq TV, les offres financières pour acheter la raffinerie « Samir » allaient de 1,8 milliard de dollars à 2,8 milliards de dollars, ce qui signifie que certaines offres ont dépassé le prix d’ouverture d’environ 800 millions de dollars.

Les offres provenaient de plusieurs pays autres que les États-Unis d’Amérique, à savoir l’Arabie saoudite, les Émirats, l’Inde, la Grande-Bretagne, la France et l’Espagne.

Et la SAMIR, rachetée par le milliardaire saoudien Mohammed Al-Amoudi en 1997, est en liquidation judiciaire depuis 2016 après avoir cessé ses activités alors que sa dette en faveur des douanes et des banques s’élevait à plus de 40 milliards de dirhams. Il a été mis en vente pour la première fois en 2017, mais malgré quelques offres locales et étrangères, aucune d’entre elles n’a été acceptée à l’époque.

Dans le cas où le tribunal de commerce de Casablanca statuerait en faveur de l’une des offres soumises, le propriétaire sera tenu de fournir une garantie financière par l’intermédiaire d’une banque locale avant de procéder à la réalisation de l’opération d’acquisition.

La société « Samir » dispose d’une capacité de production de 10 millions de tonnes par an, suffisante pour couvrir 67% des besoins du Maroc en matières pétrolières (essence, essence, carburant moteur, carburéacteur, asphalte), en plus d’une capacité de stockage pour une période de 71 jours ces matériaux.

Malgier Martel

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