Les événements en France cette semaine ont dominé les reportages et, dans leur large diffusion et leur masse, ces événements ont semblé violents et même effrayants pour certains, affectant les maisons et les biens des responsables du gouvernement français eux-mêmes. Les traits du visage du ministre français de la Justice dans ses déclarations aux médias reflétaient l’énorme ampleur du problème social auquel était confrontée la Ve République et qui, même s’il semblait s’être temporairement atténué, avait des racines profondes, principalement en raison de la politique de traitement avec les immigrants et le développement urbain associé.
Cependant, une partie importante de celle-ci remonte à l’histoire de France. La pensée politique française peut être réduite de ses homologues occidentaux au concept de république, issu du sein de la Révolution française. La République est le mot de passe et la clé de la pensée politique française, qui a porté ce concept jusqu’à la sainteté. Les historiens classent la France comme la Ve République depuis le déclenchement de la Révolution jusqu’à nos jours. La république est un terme qui fait référence à la vie politique et sociale, et à chaque fragment qui apparaît dans le dictionnaire de la politique, de la société, de la citoyenneté, de l’immigration et de tout ce qui peut être imaginé dans la vie sociale, en raison de la compatibilité de ces Variables avec l’idée de la république.
Une république, c’est simplement le maintien des valeurs de la Révolution française dans tout ce qu’elle a produit sous tous ses aspects. Et parce que la Révolution française a été retentissante et a changé l’histoire de l’Europe, à savoir le monde et ce qu’il englobait, depuis l’ère dite de la terreur de la Révolution elle-même, la Révolution jacobine et la Commune de Paris, cela a fait de la Révolution un retentissant un précédent pour l’idée d’une république. Et parce que la Révolution française était aussi violente que le pouvoir absolu des deux puissances dirigeantes et de l’Église au moment de la révolution, la république était le produit de la révolution. La république n’est pas violente dans ses idées, mais elle adopte exagérément les principes de la révolution. Au nom de la République, au nom de la liberté de pensée, on peut dire n’importe quoi, ce qui entraîne des appels à l’insulte aux symboles religieux, devenus un phénomène saisonnier non seulement en France mais aussi dans la sphère politique adjacente, et ce est arrivé le péché et un crime odieux qui s’est produit en Suède il n’y a pas si longtemps. Aussi, au nom de la république, il n’y a pas de place pour le voile dans les lieux publics sur le territoire de la république, et ce que vous voulez d’elle.
Les événements en France contrastent fortement avec son voisin britannique, la Grande-Bretagne, qui a si bien réussi à accueillir des immigrants qu’elle a choisi deux hommes du sous-continent indien pour diriger les gouvernements provinciaux d’Angleterre et d’Écosse. La Grande-Bretagne n’a pas vu une révolution de l’ampleur de la Révolution française, mais elle a vu une réforme institutionnelle de la méthode de gouvernement et de l’Église par son autorité suprême, parallèlement à un conseil civil, après quoi un contrat social a été conclu qui garantissait à la Grande-Bretagne un échelle sociale lui permettant de diriger le monde depuis l’avènement de la Révolution française jusqu’au milieu du XXe siècle.
Et de l’Angleterre outre-Atlantique aux États-Unis, il semble que la guerre civile américaine, dans laquelle l’esclavage était au cœur de son contexte social et économique, refait surface à travers les luttes intestines politiques et la polarisation entre les deux partis au pouvoir dans la mesure où de nombreux politiques Les analystes disent que le Début de la dissolution de l’Union fédérale s’annonce.
Tout cela se passe en Occident. Quant à l’Est, regardez la Chine, qui est peu mentionnée dans les nouvelles, sauf en relation avec le harcèlement des États-Unis à propos de Taiwan. La Chine pénétrant comme une pieuvre dans tous les domaines de la vie et partout dans le monde, tranquillement, consciemment et avec une puissance douce, loin du bruit des médias, des canons et des déclarations, la Chine, qui un jour a équipé une flotte navale Quelque chose comme le monde encore Jamais connu auparavant, dirigé par le navigateur musulman Zhang He, le navigateur musulman Zhang He a exploré le monde, mais a interrompu la mission une fois qu’il a atteint la Somalie, détruisant complètement la flotte et établissant une chaîne de protection autour d’elle. il s’agit de soft power dans la technologie, les affaires et peut-être la politique aussi, et pourquoi pas conquérir le monde aussi ?
Il y a des leçons de l’histoire, et ce à quoi nous assistons aujourd’hui n’est, d’une manière ou d’une autre, rien de plus que la continuation de ce qui s’est passé dans le passé.
Professeur d’architecture et d’art à l’Université Imam Abdulrahman Bin Faisal
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