France. Les allégations de viol hantent un ministre du nouveau gouvernement

Trois jours seulement après sa formation, d’éminents politiciens français ont appelé lundi à un remaniement ministériel dans le nouveau gouvernement français au milieu d’allégations de « viol » contre l’un de ses ministres lorsque l’affaire a été transférée à la justice française dans des conditions difficiles, la critique du nouveau Gouvernement français Gouvernement qui a fait de la lutte contre les violences faites aux femmes l’axe principal de son mandat. Suite à sa nomination au poste de ministre de la Solidarité, de l’Indépendance et des Personnes ayant des besoins spéciaux, Damianabad fait face à une accusation de « viol » qu’il nie « tout aussi énergiquement », arguant qu’il lui est « physiquement impossible de commettre les actes décrits ». Invalidité. Selon une enquête publiée par le site d’investigation français Mediapart, un rapport sur des « viols » présumés en 2010 et 2011 par l’ancien chef du représentant du Parti républicain Damien Abad a été envoyé par courrier électronique le samedi 21 mai au Parti républicain et parti du président français Emmanuel Macron, Ennahda ( anciennement République en marche) de l’Observatoire sur le genre et les violences sexuelles en politique du 16 au 20 mai. Selon le site d’information du journal français Le Monde, « une notification a été adressée la semaine dernière au parti Ennahda » (anciennement « République en marche »), le parti « républicain » auquel appartient Abad, ainsi qu’au système judiciaire, qui a dit qu’il analyserait la question. . Selon « Le Monde », le parquet de Paris a conservé à ce jour deux dossiers de plainte d’un plaignant de 2012 et 2017.

Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste français, a déclaré : « Il me semble que dans un gouvernement qui affirme avoir fait de la lutte contre les violences faites aux femmes le thème principal de son quinquennat, il faut aussi être clair et dire que la Voix C’est la femme et dans une telle situation, comme on le sait dans l’affaire Abad, on doit prendre des décisions difficiles », a-t-il déclaré à la radio France Inter lundi matin. Interrogé sur ce qu’il ferait si le nouveau Premier ministre français Elizabeth Borne réaffirmait immédiatement son désir de voir Damien Abad, l’ancien chef des députés du Parti républicain à l’Assemblée nationale (Parlement français), quitter le gouvernement, il a répondu : « Si j’étais Premier ministre, j’aurais dit à Damianabad que je n’ai aucune raison particulière de croire que les femmes mentent parce que je ne vois pas pourquoi. Il y a des doutes aujourd’hui et la parole de la femme doit être respectée, alors en attendant la décision du tribunal, j’espère qu’elle ne sera pas au gouvernement. »

De son côté, la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale dans le IXe arrondissement de Paris pour les élections législatives, Sandrine Rousseau, a déclaré que l’affaire n’avait rien à voir avec sa démission, mais avec son renvoi préventif par principe. , ajoutant que le Premier ministre français Elizabeth Born devrait lui dire qu’il n’a pas sa place au Conseil des ministres et qu’il ne s’agit pas d’une démission personnelle et qu’elle devrait en être responsable. Selon le site d’information du journal français Le Monde, Rousseau a ajouté qu’elle se souvient que dans toutes les entreprises et dans toutes les associations, lorsqu’il y a un signalement, il y a une obligation légale de mener une enquête sérieuse, objective et impartiale. et que cette enquête est indépendante du pouvoir judiciaire et pose la question : pourquoi les politiques ne respectent-ils pas les obligations qui s’imposent à l’ensemble de la France ? De son côté, Eric Zemmour, le candidat d’extrême droite aux prochaines élections législatives françaises invité sur CNews, s’est dit « méfiant » et avait « mis en cause » les méthodes du site « Mediapart », qu’il dit rechercher. « rumeurs » en permanence », résiste au « principe de précaution » et préfère respecter la « présomption d’innocence » pour Damienabad.

Denise Herbert

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