Gabriel Atal, 23 ans, a été nommé jeudi à la tête du ministère de l’Éducation française, devenant ainsi le plus jeune ministre à occuper ce poste dans l’histoire de la Ve République et le plus jeune membre du gouvernement actuel.
Gabriel Attal est né le 16 mars 1989 à Clamart près de Paris. Son père, Yves Attal, était avocat puis producteur de cinéma. Sa mère, Marie de Corris, travaille pour une société de production. Il a trois sœurs et un frère cadet adoptif.
Il s’est intéressé à la politique dès son plus jeune âge et s’est battu contre l’initiative du gouvernement de modifier le code du travail de l’époque dès qu’il était au lycée. Il devient membre du Parti socialiste en 2006 et participe à la candidature de Ségolène Royal à l’élection présidentielle de 2007 tout en étudiant à l’Institut d’études politiques de Paris, où il obtient une maîtrise d’affaires publiques en 2012.
L’un des premiers socialistes à suivre Emmanuel Macron en fondant son mouvement fut Gabriel Attal, qui le nomma ministre délégué aux Finances publiques au printemps 2022.
Depuis son entrée en fonction il y a quatre ans, il s’est fait un nom dans l’opinion publique grâce à ses relations avec les médias.
L’ancien porte-parole du gouvernement assumera la responsabilité d’un des ministères les plus importants de la république, car il dirigera un ministère sensible doté du budget le plus important de l’État et devra faire face à de nombreux défis, dont les plus importants sont : le recrutement des enseignants. crise, le phénomène du harcèlement et du harcèlement dans les écoles et la polémique sur la laïcité.
Ses partisans saluent son « travail acharné constant » et son « grand flair politique ». Cependant, sa nomination au ministère national de l’Éducation a suscité des critiques pour son « ignorance » du système éducatif public et ses difficultés à étudier dans les écoles privées.
La plupart des critiques visaient la ligne idéologique du nouveau ministre, tandis que certains s’en prenaient à Gabriel Atal pour d’autres raisons, notamment le politicien de droite Philippe de Villiers, qui a écrit jeudi soir sur Twitter que cette nomination était un « désastre ». de l’été », ajoutant que cela déplacerait le ministère « vers les personnes gays et transgenres », un clin d’œil à Atal, qui avait précédemment révélé qu’il était gay et qu’il sortait avec l’eurodéputé Stéphane Sigourney.
Les propos de Duvillier ont provoqué la colère de diverses classes politiques françaises, notamment du parti d’extrême droite Rassemblement national, le député Sébastien Cheneau ayant jugé cette déclaration « épouvantable ». Les déclarations ont également été critiquées comme étant incompatibles avec les valeurs de la République française.
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