Dimanche, le président français Emmanuel Macron a ouvert les célébrations du 80e anniversaire de la libération de la France du nazisme pendant la Seconde Guerre mondiale en rendant hommage à la résistance lors d’activités qui ont culminé en juin avec la commémoration du « débarquement de Normandie ».
Macron a participé à une cérémonie commémorative des combats qui ont eu lieu aux Glières il y a 80 ans en mars 1944 entre l’armée allemande et le groupe paramilitaire connu sous le nom de Milice française, d’une part, et des éléments de la Résistance française, d’autre part. . Plateau de la région alpine (sud-est).
Le président français a rappelé à plusieurs reprises le slogan des résistants : « Vivre libre ou mourir ».
Entre janvier et mars 1944, 465 résistants à l’occupation allemande se sont rassemblés sur ce plateau du département de Haute-Savoie pour recevoir les armes larguées par hélicoptère par les Alliés en vue du débarquement en Provence (août 1944).
Fin mars de la même année, l’armée et les miliciens allemands fouillent la zone et arrêtent les deux tiers des résistants. 124 d’entre eux ont été tués au cours de combats ou d’exécutions, tandis que neuf d’entre eux étaient portés disparus et 16 autres sont morts en détention.
Le président français a déclaré : « C’est notre tragédie en France. Les Français n’ont pas affronté seuls les nazis… les Français ont emprisonné le peuple français et les Français ont assassiné le peuple français.
Il vante les différents domaines de vie des résistants et leur diversité : « Parmi eux, des enseignants, des villageois, des dignitaires, des juifs comme des catholiques, des communistes, des socialistes, des de Gaulles, des anarchistes mais aussi des officiers français et étrangers qui se sont unis dans le mouvement. organisation. » Visage du national-socialisme.
« phases sombres »
Le président français se rend ensuite à Iseo (sud-est), où, sur ordre de son commandant Klaus Barbie, une maison est construite à la mémoire des enfants juifs qui y avaient trouvé refuge. Il en arrête 44 le 6 avril 1944. les déportèrent et les assassinèrent dans les camps d’Auschwitz-Birkenau (Pologne) et de Reval (Estonie).
Dans Ezio, Macron a souligné que « la seule cause de l’antisémitisme est la haine », selon l’Elysée.
Entre mai 1943 et avril 1944, le Centre Izio, fondé à l’initiative de Sabine Zlatin, résistante juive polonaise, et de son mari Miron Zlatin, fui pendant la Révolution russe, accueille une centaine d’enfants, parfois même pour seulement quelques semaines d’enfants.
Un conseiller présidentiel français a déclaré : « La mission du président est de se souvenir de notre histoire particulière, de notre grande histoire, qui comprend aussi des phases sombres auxquelles nous devons faire face », soulignant la collaboration des « milices » avec le régime de « Vichy » pour contrer la résistance française. à l’occupation nazie.
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