L’ambassadrice de France au Liban, Anne Griot, a tweeté hier : « Les célébrations de la fête nationale sont une nouvelle occasion de réaffirmer une profonde affection et un engagement durable. Une journée pour la France, avec le Liban, ses institutions et les Libanais, pour surmonter les différentes crises qui l’entravent. Mes chers amis libanais, c’est ce que je fais au quotidien et je continuerai à le faire, au nom des liens historiques qui nous lient, en collaboration avec vous et pour vous.
En effet, des sources politiques informées ont déclaré à Al-Markaziya que la France semble être l’un des pays les plus engagés dans le dossier libanais jusqu’à présent. Aujourd’hui, elle entretient une série de contacts au niveau international dans le but de mettre fin au plus vite au vide présidentiel. Le président français Emmanuel Macron a évoqué cette « préoccupation » avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane il y a quelques semaines par téléphone et il y a quelques jours en personne lorsque les deux hommes assistaient à la conférence du G20 à Bali.
De plus, parmi les nombreux papiers qu’il apportera à Washington, Macron portera le journal libanais, où il discutera des affaires et des préoccupations du Liban avec le président américain Joe Biden, qui le recevra à la Maison Blanche dans les prochains jours.
En revanche, « dans le monde entier », Paris est en contact avec Téhéran en raison de son influence au Liban via le Hezbollah et indique que cette communication pourrait ralentir dans la prochaine phase en raison de la colère de la France face au régime de traitement violent et répressif de l’Iran contre les manifestants. .
En tout cas, ajoutent les sources, le but de toute cette démarche est de persuader les forces influentes dans la situation libanaise de neutraliser la présidence libanaise de leurs conflits, et de promouvoir un consensus parmi les Libanais sur un chiffre que personne n’a provoqué, en une manière qui facilite la conclusion des élections, renforce la stabilité libanaise et empêche le petit pays de s’effondrer.
Cependant, les sources indiquent que ces derniers jours un deuxième pays est entré dans la ligne libanaise, dans un rôle très similaire à celui de la France et porteur du même message, et il est présent au Vatican. Des diplomates du Saint-Siège se sont réunis à Rome avec des représentants des membres permanents du Conseil de sécurité et un certain nombre de pays arabes clés pour les exhorter à aider à briser le mur épais de la crise libanaise en cours.
Avec l’impasse locale, ont indiqué les sources, et l’incapacité de trouver une solution pour briser le statu quo négatif du président, il dépend désormais de Paris ou du Vatican pour atteindre cet objectif…
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