تسببت زيارة رئيسة الجمعية الوطنية البرنسية (البرلمان) يائيل برون ب يفيه إلى إسرائيل، بجدل سياسي في ف رنسا، إذ اتهمها رئيس حزب « فرنسا الأب ية » جان لوك ميلانشون بأنها « تدعم المجازر » الإسرائيلية في قطاع زة، وذ لك قبل يومين من زيارة الرئيس إيمانويل ماكرون إلى Tel Aviv.
dit-elle Bron Bivet Lors d’une visite à Tel-Aviv, elle a déclaré : « Il y a des assaillants et il y a ceux qui ont été attaqués », ajoutant : « La France soutient pleinement Israël, la seule démocratie du Moyen-Orient, qui a été terriblement attaquée, il ne faut donc pas Faites des erreurs. » La bataille, toujours selon nos mots.
Elle a poursuivi : « Le plus important est de réduire le nombre de victimes du conflit parmi les civils dans la bande de Gaza, mais nous savons aussi qu’ils sont utilisés comme boucliers humanitaires. Ils ont absolument besoin d’être protégés, mais rien ne doit empêcher Israël de se défendre. »
Critique de la gauche française
La visite de la présidente du Parlement français, au cours de laquelle elle était accompagnée du chef du parti de droite Les Républicains, Eric Ciotti, du représentant des Français de l’étranger, Meir Habib, et de Mathieu Lefebvre, du parti au pouvoir Ennahdha, a fait l’objet à de vives critiques de la gauche.
Le chef du parti La France fière, Jean-Luc Mélenchon, a déclaré sur la plateforme « X » que cette visite n’était « pas au nom du peuple français ».
Commentant les manifestations qui ont eu lieu à Paris en soutien au peuple palestinien, il a écrit dimanche : « C’est la France pendant que Brun Bivier est à Tel-Aviv pour promouvoir le massacre », laissant entendre que cette visite « n’est pas » au nom de l’Autorité palestinienne. .. » est fait par les Français. »
Le coordinateur du parti Manuel Bombard a, à son tour, dénoncé une « grave erreur politique ». Exprimant sa colère, il a déclaré : « Le président de l’Assemblée nationale apparaît aux côtés d’une armée qui commet actuellement des crimes de guerre. »
Son parti envisage de « demander des comptes sur cette question » au Parlement lundi lors du débat sur la situation au Moyen-Orient entre le gouvernement et les blocs parlementaires.
Manifestation à Paris
Dimanche, des milliers de personnes se sont rassemblées pour la première manifestation pro-palestinienne approuvée par la police à Paris, la capitale française, depuis les attentats du 7 octobre.
Les manifestants brandissaient des drapeaux palestiniens et criaient : « Gaza, Paris est avec vous ».
Selon la police, environ 15 000 personnes se sont rassemblées sur la Place de la République pour exprimer leur solidarité avec les Palestiniens et appeler à un cessez-le-feu. Le nombre de victimes des attaques israéliennes à Gaza s’élève à plus de 4 700.
Les autorités ont autorisé la manifestation à la dernière minute jeudi après qu’un tribunal de Paris a annulé la décision de la police d’interdire la manifestation.
Ces derniers jours, les autorités ont autorisé de nouvelles manifestations dans des villes françaises après que le plus haut tribunal administratif du pays a rendu une décision exigeant que les manifestations pro-palestiniennes soient interdites au cas par cas plutôt que systématiquement, suite aux instructions précédentes du ministre français de l’Intérieur. .
Le « Rassemblement national pour une paix durable et juste entre Palestiniens et Israéliens », qui regroupe plus de 40 organisations, dont le parti de gauche « France fière », la Confédération générale des syndicats et « France Palestine Solidarité », a appelé à un manifestation à Paris. « Organisation.
Visite de Macron à Tel-Aviv
Selon l’Elysée, la visite du président français Emmanuel Macron devrait débuter mardi à Tel-Aviv, après que les dirigeants de plusieurs pays occidentaux se sont rendus en Israël pour montrer leur soutien.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré dimanche que le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte se rendraient en Israël cette semaine.
Macron avait précédemment déclaré qu’environ 30 ressortissants français avaient été tués lors de l’attaque du mouvement Hamas en Israël le 7 octobre, tandis que sept ressortissants français sont toujours portés disparus et seraient tous prisonniers du Hamas.
A propos de la visite du président français, le journal français Le Figaro a cité un ancien diplomate français disant : « Il semblerait que Macron ait raté le train », ajoutant : « Il se rendra tard en Israël ».
Lors du sommet de paix de samedi au Caire, la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna a déclaré qu’Israël a « le droit de se défendre en vertu du droit international » et que « l’existence d’un couloir humanitaire vers Gaza est nécessaire et pourrait conduire à un cessez-le-feu ».
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