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La saison moyenne des bateaux de la mort, les comptes de profits et pertes de la guerre en Ukraine et les interrogations sur le conflit en Syrie… Tels sont quelques-uns des sujets abordés par la presse française ce lundi 29 août 2022. en plus des résultats de la visite du président français Emmanuel Macron en Algérie.
L’approvisionnement en gaz algérien de la France « surprend »
Cette visite a été qualifiée par « Les Zicos » de « réussie sur le plan diplomatique », indique le journal, soulignant qu' »à la fin la question du gaz a également été évoquée » pour se poursuivre au niveau du groupe énergétique français « Engee ». et la « Sonatrach » algérienne. L’auteur de l’article « Thomas Ponteroli » a également souligné que l’annonce officielle de ces négociations était « surprenante » étant donné que l’Algérie est actuellement incapable de produire plus de gaz. Ce point a été repris par l’historien Paul Vermeeren dans une interview au journal Le Figaro, où il a déclaré que « l’incapacité de l’Algérie à investir dans les équipements d’exploration et de forage limite ses capacités de production ».
Exporter plus de gaz algérien nécessitera des milliards de dollars
Paul Vermeiren a également souligné que « les investissements requis, qui sont indispensables pour l’exportation du gaz algérien vers l’Europe, nécessitent des milliards de dollars, qui sont des sommes qui dépassent les capacités de Sonatrach. On ne sait pas encore qui possède l’entreprise ou la société est. » fera un tel investissement », déclare Paul Vermeiren, qui a parlé au Figaro de « l’extrême importance stratégique de la visite », tandis que l’écrivain et romancier français Jean-Marie Roire, dans l’une des Pages d’opinion du Figaro, la décision de mandater une commission des historiens algériens et français pour étudier la mémoire du colonialisme et de la guerre d’Algérie, la jugeant « naïve et dangereuse car susceptible d’être exploitée par l’extrémisme islamiste.
La guerre en Syrie est-elle vraiment terminée ?
« La guerre en Syrie, est-elle vraiment finie ? Le titre d’un article du spécialiste du Moyen-Orient du Figaro, « George Malbrunot ». « Le conflit s’est gelé, mais il n’y a pas de solution permanente dans un avenir prévisible », a écrit George Malbrunot, notant dans son article que « l’Iran est le plus grand bénéficiaire du retrait de la Russie du sud de la Syrie, tandis que les Kurdes pourraient être le principal bénéficiaire ». bouc émissaire du rapprochement turco-syrien. » Se référant à la France et à son « intérêt à rétablir des relations avec un régime responsable de la mort d’au moins 400 000 de ses citoyens », Malbrunot a souligné que « elle-même une délégation de Damas s’est réunie pour la première fois depuis huit ans avec un conseiller du président Macron pendant l’été, mais cette rencontre ne portera pas ses fruits à court terme. » Malbrunot écrit, citant le spécialiste russe Fabrice Balanche qu’il était plus utile de communiquer directement avec lui quand il s’agit à la lutte contre le terrorisme des services secrets russes.
Saison de la migration clandestine vers le nord
Parmi les sujets intéressants dans les journaux d’aujourd’hui figure un article de Libération sur la saison de la migration illégale des côtes libyennes vers la rive nord de la Méditerranée. L’article contient les témoignages du poète et journaliste libyen « Khaled Mutawa » et du journaliste « Jerome Tubiana » qui ont raconté leurs expériences à bord de « Geo Barents », le bateau préparé par Médecins Sans Frontières pour accueillir les migrants en quête d’un avenir meilleur en Europe, notamment pendant la saison estivale de l’immigration clandestine qui a vu la disparition ou la noyade d’environ un millier de personnes cette année », écrit Libération.
Nous savons que la Russie sortira de la guerre en Ukraine comme un perdant
Dans « Les Zicos » lectures sur l’issue de la guerre en Ukraine. La première de ces lectures est écrite par Dominique Moisi, qui estime que « six mois après la guerre, nous savons que la Russie sera perdante de cette guerre devant ses voisins européens et devant la Chine, à laquelle Moscou est subordonnée ». Vladimir Poutine voulait : que son pays devienne fondamentalement dépendant de Pékin », écrit Li Zico. Il voulait aller de la Finlande à l’Ukraine, et ici il ne fait que récolter l’atlas de la Finlande et de la Suède. » Dominic Moisi a également déclaré : « La Russie ne bouge pas. plus, mais en retour il risque un accident nucléaire qui menace la planète entière.
L’Europe peut-elle perdre la guerre d’Ukraine ?
Toujours dans Les Echos, Nicolas Barry s’interrogeait : « L’Europe peut-elle perdre la guerre en Ukraine ? » Il a estimé que « les effets de ce conflit et l’inflation financière qui en résulte, le ralentissement du commerce mondial et la menace de stagnation mettent à l’épreuve l’unité européenne », a écrit Nicolas Barry, notant que « l’Europe démocratique que Poutine tente de détruire a tellement résisté loin… Mais ce n’est pas le moment de rester inactif car nous pouvons encore perdre la guerre », a conclu Li Zikou.
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