Les autorités algériennes exigent l’extradition des condamnés (Riad Garamdi/AFP)
jugé Justice algérienne Trois militants expatriés ont été inculpés mardi pour « adhésion et financement d’une organisation terroriste, faux et usage de faux, et blanchiment d’argent en lien avec des activités terroristes » et un mandat d’arrêt international a été émis.
Le tribunal correctionnel de Casablanca, dans la banlieue est de la capitale algérienne, a condamné les militants Mohamed Larbi Zayout, qui se décrit comme un ancien diplomate et résident de Grande-Bretagne, et Amir Boukhras, dit Amir Dezad, qui vit en France et est actif sur le social et ancien officier du renseignement, le journaliste Hisham Abboud, qui vit en Belgique.
Dans le même verdict, une quatrième personne, Ahmed Mansouri, a été condamnée à 20 ans de prison et une cinquième personne, Mohammed Abdullah, à 15 ans de prison.
Très probablement, l’accusation signifie « appartenance à une organisation terroriste » à laquelle appartiennent les cinq condamnés Mouvement Rashad, qui a été fondé à l’étranger par d’anciens militants du Front islamique du salut (interdits). En mai 2021, les autorités algériennes décident de qualifier le mouvement d' »organisation terroriste ».
La décision de justice a renouvelé l’émission d’un mandat d’arrêt international contre les trois militants, qui est le troisième mandat d’arrêt international contre eux, mais les autorités des pays qui les ont accueillis, la France, la Grande-Bretagne et la Belgique, ont jusqu’à présent refusé de les extrader. .
Il y a une semaine, la justice algérienne a condamné à mort le militant et journaliste basé en Suisse Abderrahmane Sammar après avoir publié des informations confidentielles et stratégiques sur les activités de la société pétrolière algérienne Sonatrach.
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