Dans le cadre d’une recherche sur les origines du Riad Salameh en Europe
Beyrouth : Agences « Golf » :
La justice française a entendu Marianne Howayek, ancienne sous-gouverneure de la banque centrale libanaise, Riad Salameh, hier vendredi, dans le cadre d’enquêtes sur ses avoirs en Europe, selon des sources proches du dossier, indiquant la possibilité d’accusations contre Hayek avancées.
Le juge français Aud Bourizi a écouté Marian Al-Hawik lors d’un interrogatoire à Paris dans le cadre d’enquêtes sur l’origine du dirigeant en Europe, ont déclaré à l’Agence France-Presse des sources proches du dossier, suggérant la possibilité de poursuites contre Al-Hawik. Plusieurs pays européens, dont la France, se penchent sur la fortune de Salama, et les enquêteurs soupçonnent qu’il a amassé des fortunes immobilières et bancaires grâce à un système financier complexe et a largement abusé des fonds publics libanais pendant son mandat de gouverneur de la Banque du Liban, il y a plus de trois ans. décennies. La justice française soupçonne Al-Hawik d’avoir joué un rôle de premier plan dans l’affaire. Al-Hawik, 43 ans, est arrivé au tribunal de Paris à 9h15 après avoir été convoqué par le juge chargé de l’enquête. Le juge a entendu Al-Hawik parler de son rôle dans le transfert d’argent entre la Banque du Liban et des comptes bancaires européens. Fin mars, la justice française a officiellement inculpé l’ancien ministre et PDG de la Banque privée des ressources du Liban, Marwan Khair El-Din, dans le cadre de la même enquête. En juin 2022, il porte également plainte contre l’Ukrainienne Anna K. Security close-up. La richesse de Salameh, l’un des gouverneurs de banque centrale les plus anciens au monde, fait l’objet d’enquêtes au Liban et à l’étranger, car il est poursuivi par de multiples soupçons, notamment de détournement de fonds, de les blanchir et de les transférer sur des comptes à l’étranger.
Il y a un an, la France, l’Allemagne et le Luxembourg ont gelé 120 millions d’euros d’avoirs libanais dans le cadre d’enquêtes sur des accusations de blanchiment d’argent et de « détournement de fonds » contre Salameh et quatre de ses proches collaborateurs, dont Al-Hawik et son frère Raja. des fonds publics au Liban d’une valeur de plus de 330 millions de dollars soit 5 millions d’euros entre 2002 et 2021. L’enquête française a été ouverte après deux plaintes déposées par l’organisation non gouvernementale « Sherpa » de lutte contre la délinquance financière et l' »Association des victimes de fraude et pratiques criminelles au Liban » lancé par des déposants de banques libanaises touchées par les séquelles de la crise financière que connaît le Liban depuis 2019. Et en juillet 2021, le parquet financier français ouvre une enquête dans l’affaire de « blanchiment en bande organisée ».
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