La politique de la France envers le Liban va-t-elle changer après le « revers » électoral de Macron ?

Loin des délibérations parlementaires dont on connaît désormais l’issue, et loin de la possibilité de former un gouvernement ou de rester dans un gouvernement intérimaire, ou de procéder à un remaniement ministériel limité jusqu’à la fin de la législature et de s’entendre sur le présidium de la république et gouvernement Revenons ensemble (selon le climat régional et international) sur les élections législatives françaises et l’impact de leurs résultats sur le Liban.

Ce dernier a été une surprise voire un revers, du moins pour le parti du président Emmanuel Macron. Elle n’a produit ni majorité ni minorité mais plusieurs blocs épars, notamment 3 blocs, à l’image des résultats des élections libanaises qui ont également produit plusieurs blocs..

Malgré le fait que son bloc rassemblait le plus grand nombre de députés, Macron a subi une grande perte, puisqu’il n’a pas pu obtenir la majorité absolue pour la mise en œuvre de ses projets de réforme et programmes internes et externes et a été gouverné en consensus avec les partis ou blocs d’opposition. , au parlement ou dans la formation d’un gouvernement..

Ce qui est certain, c’est que Macron et la France auront besoin de temps pour sortir de la crise électorale qui l’a tourmenté et refaçonner sa politique en interne et en externe. Mais le mouvement français vers le Liban sera-t-il impacté négativement après le « contrecoup » de Macron ?

Ceux qui connaissent la politique française confirment que la politique de France-Macron envers le Liban ne changera pas car la politique étrangère relève de la responsabilité de Macron et une partie de son programme consiste à proposer une solution au dilemme du Liban, à trouver et à mettre en œuvre des réformes dans lesquelles la France joue un rôle, comme l’électricité, le gaz, le pétrole et les transports et conclure les négociations avec le Fonds monétaire international..

Des sources bien informées confirment donc la poursuite de l’intérêt et de l’engagement français au Liban au cours de la prochaine phase, même s’il y a eu quelques « fuites et catastrophes » dues à la marée politique, que ce soit au Liban ou chez les Français..

Bien que les sources estiment que Macron changera certains membres de la cellule de crise engagés dans la poursuite de la question libanaise et que l’engagement libanais a diminué en termes relatifs, s’attaquer aux mauvaises conditions des Libanais deviendra la priorité de Macron et la mise en œuvre des réformes appartiendra sur la base du CEDRE conférence, la France est impliquée dans les projets, en plus d’activer le régime de sanctions contre ceux qui empêchent les réformes et de mettre en œuvre les réformes, une décision de l’Union européenne qui continuera d’être dirigée par la France. Bref, la « mère compatissante » ne laissera pas le Liban s’enfoncer davantage dans sa corruption, et ses dirigeants chercheront à renverser un régime en mal de renouveau…

Denise Herbert

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