« Il a pris le contrôle du site internet »Diplomate moderne« Nous examinons l’impact potentiel de la décision française cette semaine de reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara et son impact sur la politique étrangère algérienne. »

Le site Internet explique dans un reportage traduit par Arabi 21 que le soutien de la France au plan d’autonomie du Maroc sur le Sahara cette semaine fait suite à un soutien similaire de l’Espagne en 2022 et à la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara en 2020, ainsi qu’au soutien d’Israël. pour cela en 2023. Avec la liste croissante de pays arabes et africains qui le soutiennent.

La position française en particulier est d’une grande importance et aura certainement un impact positif sur la question du conflit du Sahara. Cette décision doit être comprise dans le contexte de la reconnaissance croissante de l’initiative marocaine et du soutien à la position marocaine aux niveaux régional et international.

Le site Internet affirme que la position française est le résultat d’une période de persuasion tranquille entre le Maroc et la France ces derniers mois. Cela s’explique par plusieurs aspects, notamment la volonté du Maroc de construire un partenariat stratégique équilibré et une coopération significative qui fasse progresser ses intérêts, notamment la question du Sahara, ainsi que les considérations commerciales, économiques et sociales.

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Compte tenu des relations historiques entre les deux pays, qui remontent à la période du colonialisme français en Afrique du Nord, Rabat attendait certainement que Paris prenne une position particulière sur la question du Sahara. La position de la France sur cette question est importante compte tenu de son rôle influent dans la région. À ce stade, il est également important de prendre en compte d’autres critères, comme la nécessité de reconstruire une relation stratégique entre les pays d’Afrique du Nord après qu’ils ont perdu leur position en raison de la concurrence des États-Unis, de la Chine et de la Russie dans la région.

Malgré les doutes, le site souligne que la position française ne doit pas être considérée comme un acte isolé, car elle reflète la conviction croissante de la communauté internationale quant à la gravité des mouvements séparatistes qui ne conduisent pas au développement et à la démocratie. De son côté, le gouvernement français est déterminé à soutenir le plan d’autonomie comme alternative rationnelle pour résoudre le conflit régional au Sahara. Cette approche vise à préserver l’intégrité territoriale et à apporter une solution réaliste en accordant l’autonomie aux résidents sahraouis afin qu’ils puissent gérer leurs affaires démocratiquement. Cela contribuera à un développement sérieux et leur permettra de bénéficier de leurs ressources naturelles.

Concernant la politique étrangère, le site Internet explique que le système politique évolue rapidement pour aborder et résoudre les problèmes régionaux et mondiaux, quelle que soit la nature du conflit ou du processus de négociation. En fait, la question du Sahara, qui n’a pas encore été abordée de manière rationnelle par les Nations Unies, nécessite une solution politique qui satisfasse à la fois le Royaume du Maroc et le Front Polisario.

De son côté, Rabat affirme que la politique étrangère algérienne tente de créer un fossé entre le Maroc et le Front Polisario sur la solution du Sahara, et le Maroc affirme que l’Algérie accroît les tensions dans la région frontalière de Guerguerat et dans les régions du sud pour attirer l’attention de c’est pour détourner l’attention des problèmes internes, en particulier des prochaines élections en Algérie. De nombreuses institutions européennes et occidentales des droits de l’homme ont condamné la détérioration de la situation des droits de l’homme et le respect du droit international humanitaire dans le camp de réfugiés de Tindouf, sur le territoire algérien.

Le site Internet explique que le Royaume du Maroc a présenté un plan global d’autonomie pour le Sahara occidental, réaffirmant sa souveraineté sur celui-ci afin de mettre fin au conflit qui dure depuis plus de quatre décennies. Plusieurs pays, dont les États-Unis, l’Allemagne, les pays arabes et africains, l’Espagne et même la Finlande, ont considéré qu’il s’agissait du plan le plus honnête, crédible et réaliste pour résoudre le conflit sahraoui. Le Maroc a présenté un aperçu détaillé de ses projets pour la région.

Celle du Roi Mohammed VI. et le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita a confirmé que la proposition marocaine avait reçu un soutien international important. Le plan marocain est conforme aux résolutions des Nations Unies sur la question du Sahara et reflète l’engagement du gouvernement marocain à créer les conditions d’un processus de dialogue et de négociation afin de parvenir à une solution politique acceptable pour toutes les parties. Cela contredit la position du Front Polisario soutenu par l’Algérie, qui appelle à un référendum sur l’indépendance du peuple sahraoui. L’objectif de l’initiative est de créer une société démocratique et moderne qui, outre le développement économique et social, repose sur l’État de droit et les libertés collectives. Le plan promet la possibilité d’offrir un avenir brillant aux peuples de la région, de mettre fin à la sécession et à l’asile et de promouvoir la stabilité.

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Le site Internet souligne que l’initiative marocaine s’engage en faveur de l’intégrité et vise à créer les conditions d’un processus de dialogue et de négociation conduisant à une solution politique acceptable. Le Plan marocain d’autonomie s’appuie sur des normes et modèles internationalement reconnus, ainsi que sur des propositions internationales pertinentes et des dispositions constitutionnelles applicables dans les pays géographiquement et culturellement proches du Maroc.

Le Royaume du Maroc et l’Union européenne insistent sur le fait qu’il est trop tard pour entamer un processus de négociation et faire des concessions avec l’Algérie en tant que partie importante en raison de la méfiance mutuelle entre les parties concernées, notamment le Front Polisario. Les États-Unis et la France considèrent la diplomatie comme un processus de médiation continue, de persuasion constante et, le cas échéant, de compromis mutuel. Le Maroc et les Nations Unies ont clairement averti l’Algérie et les autres parties concernées de la nécessité de revenir à la table des négociations.

Le site Internet note que le gouvernement français pourrait reconnaître pleinement la souveraineté du Maroc sur les provinces du sud, notamment le Sahara. La diplomatie française a reconnu l’importance de la question du Sahara et il est désormais temps de renforcer la coopération diplomatique pour résoudre de manière réaliste ce conflit, d’autant plus que d’autres pays ont exprimé leur soutien à l’ouverture de consulats dans les villes du Sahara.