Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov (archives Reuters)
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que la Russie était prête à revenir à une application COMMENCER Dès que l’Occident sera prêt à répondre aux préoccupations légitimes de Moscou.
Peskov a déclaré mercredi dans un communiqué de presse que la réponse de l’Occident à la suspension par la Russie de sa participation au traité « ne nous donne pas l’espoir qu’elle soit prête à négocier », selon les médias locaux.
Il a ajouté que la Russie « attendra patiemment que l’Occident mûrisse pour un dialogue normal sur START ».
Faire passer une loi
Il convient de noter que plus tôt mercredi, la Douma russe a adopté une loi suspendant la participation de Moscou au traité START.
La Douma, la chambre basse du parlement russe, a déclaré dans un communiqué : « Le projet de loi prévoit que la Fédération de Russie suspende le traité conclu entre elle et les États-Unis d’Amérique sur des mesures visant à réduire et à limiter davantage les armements stratégiques offensifs. signé à Prague le 8 avril 2010. »
Il a également noté que la décision de reprendre la participation de la Russie au traité sera prise par le président du pays, selon les médias locaux.
La loi entrera en vigueur après sa publication officielle.
menace d’essais nucléaires
Cela s’est produit après l’annonce par le président russe Wladimir PoutineMardi, son pays a suspendu sa participation à l’accord russo-américain « New START » sur le désarmement nucléaire.
Dans son discours, il a déclaré : « Ils veulent nous infliger une défaite stratégique et attaquer nos installations nucléaires, et pour cette raison, il est de mon devoir d’annoncer que la Russie suspendra sa participation au (nouveau) traité START ».
Il a également menacé de procéder à de nouveaux essais nucléaires si Washington le faisait en premier, selon l’AFP.
Alors qu’un certain nombre de pays occidentaux tels que la Grande-Bretagne, la France et les États-Unis ont exprimé leurs regrets face à la décision de la Russie, ils ont exprimé l’espoir que Moscou reconsidérerait cette décision.
Un autre accord bilatéral
Notamment, cet accord, signé en 2010, est le dernier accord bilatéral de ce type liant les deux puissances.
Début août, la Russie a annoncé la suspension des inspections américaines prévues de ses sites militaires dans le cadre de l’accord, soulignant que cette décision répondait aux obstacles américains aux inspections russes aux États-Unis.
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