Le syndicat d’extrême gauche français CGT s’est retiré vendredi matin des négociations sur l’augmentation des salaires avec TotalEnergies, s’engageant à poursuivre une grève dans les raffineries qui a paralysé l’approvisionnement en carburant du pays, bien que deux autres syndicats aient accepté une proposition d’augmentation de salaire de 7%.
Elle s’asseyait Énergies totales Et quatre syndicats, dont la CGT, sont venus à la table jeudi soir pour discuter des conditions et des offres du géant pétrolier pour une augmentation de salaire. Après près de six heures de négociations, le syndicat CGT a quitté la réunion tôt vendredi matin, son représentant Alexis Antonioli déclarant aux médias que les pourparlers étaient « caractéristiques » et que les propositions de TotalEnergies étaient « nettement insuffisantes ».
En revanche, deux autres syndicats, la CFDT et la CFE-CGC, ont jugé l’offre d’augmentation de salaire de 7 % « tout à fait raisonnable ». L’offre devait maintenant être approuvée par les membres de la guilde.
Près de trois semaines de grèves dans les raffineries françaises ont bloqué plus de 60 % de la capacité de raffinage du pays, tandis que le carburant s’épuise à Paris et dans les environs et dans le nord de la France.
Les ministres français ont déclaré jeudi que TotalEnergies devrait augmenter les salaires des travailleurs de ses raffineries.
Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré à la radio locale que compte tenu des bénéfices qu’elles réalisent, il est du devoir des entreprises ayant la capacité – dont Total – d’augmenter les salaires.
Jeudi, la ministre de l’Energie Agnès Bagnii-Runaci a également appelé TotalEnergies à augmenter les salaires, affirmant que l’entreprise est capable de le faire et que « tout le monde doit retourner à la table des négociations ».
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