Le journal Le Figaro a indiqué que de nombreux ambassadeurs de France au Moyen-Orient et dans certains pays du Maghreb avaient exprimé conjointement leurs regrets dans une note commune sur la position de Paris dans le conflit israélo-palestinien en raison de la position pro-israélienne du président. Emmanuel Macron Dans la guerre actuelle dans la bande de Gaza.
Le journal explique dans un article rédigé par George Malbrunot que le mémorandum a été envoyé au Département d’État et à la présidence présidentielle et, selon un diplomate qui l’a lu, « ce n’est pas simple, mais c’est tout à fait possible », décrit comme un mémorandum de l’opposition dans lequel ces ambassadeurs confirment que notre position pro-israélienne au début de la crise au Moyen-Orient n’est pas comprise. « Parce que cela contredit notre position traditionnellement équilibrée envers les Israéliens et les Palestiniens. »
Selon ce diplomate, « le mémorandum confirme la perte de crédibilité et d’influence de la France, donne une mauvaise image de notre pays dans le monde arabe et laisse ensuite entendre, un peu diplomatiquement, que tout cela est dû aux positions du président de la République ».
Une démarche collective inédite
Trois anciens diplomates de haut rang ont confirmé au Figaro que cette « démarche collective des ambassadeurs de France au Moyen-Orient est inédite », et un autre diplomate du ministère des Affaires étrangères proche des manifestants a déclaré qu’ils « ont pris leurs responsabilités pendant leur présence ». unis et dans leur esprit que c’était la première étape.
De leur côté, la présidence française et le ministère des Affaires étrangères ont minimisé l’importance de ces déclarations supprimées et les manifestants ont déclaré que « la correspondance diplomatique, considérée comme secrète par définition, ne doit pas être commentée », ajoutant : « Il s’agit d’un message. » Parmi tant d’autres, mais les autorités politiques élues par les Français – « En tant que président de la République et de son gouvernement – c’est en fin de compte la décision de la politique étrangère française. »
Certains ambassadeurs français ne parviennent plus à accéder à certains cercles décisionnels des pays où ils sont en poste, et un ambassadeur a même reçu des menaces de mort de la part d’extrémistes irrités par les positions de Paris.
La proposition de Macron lors de sa rencontre à Tel Aviv avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu d’élargir la coalition internationale contre l’EI pour inclure le Mouvement de la résistance islamique (Hamas) était une idée qui n’a pas été comprise au Moyen-Orient avant d’être abandonnée, selon le journal.
Cette proposition a suscité les critiques les plus virulentes à l’encontre de la France après les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, à tel point que « parfois nous sommes accusés de complicité de génocide », affirme un jeune diplomate basé au Moyen-Orient, faisant écho aux plaintes de hauts diplomates.
Selon Le Figaro, certains ambassadeurs français ne parviennent plus à accéder à certains cercles décisionnels des pays où ils sont en poste, et un ambassadeur a même reçu des menaces de mort de la part d’extrémistes irrités par les positions de Paris, selon Le Figaro.
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