Le Monde : L’armée française se prépare à une guerre très intense | politique

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Le journal « Le Monde » a déclaré (Le Monde) Une manœuvre d’envergure impliquant environ 20 000 militaires français et alliés est prévue en 2024, selon l’état-major général, pour répondre aux évolutions du contexte géostratégique et se préparer à « l’éventualité d’une guerre majeure » comme celle qui se déroule en Ukraine maintenant au lieu de.

Le journal soulignait que ces exercices militaires, baptisés « Orion », étaient les plus importants que l’armée française ait menés depuis la fin de la guerre froide, et leur objectif était de déclencher une « grande guerre » entre un État hostile imaginaire appelé « Arnland , dont la stabilité est déstabilisée par des milices soutenues par un pays ennemi appelé Mercure, ont déclaré mardi des chefs d’état-major de l’armée.

La première partie de la manœuvre prendra la forme d’un débarquement de forces maritimes et aériennes avec la participation de 7 000 hommes, du porte-avions Charles de Gaulle, de deux porte-hélicoptères amphibies et d’une vingtaine de navires de surface ou sous-marins, tandis que la seconde partie sera un simulation d’une invasion directe depuis « Arnland » via « Mercury », les forces armées tentent. Les Français les bloquent, 10 ou 12 000 hommes participent à un front de 50 kilomètres de long et 200 kilomètres de profondeur, mobilisant tous les moyens de l’armée.

Célébrations du 14 juillet en France (Anatolie)

Après un civil militaire

L’état-major général justifie les manœuvres « Orion » par l’évolution du contexte géostratégique et « la possibilité d’une guerre majeure. » Le général Metair, qui est chargé d’organiser ces manœuvres, déclare : « Il faut se préparer au pire pour l’éviter. arriver ou atténuer ses conséquences », notant que les scénarios d’engagement sont inspirés par la lutte des milices pro-russes. Dans le Donbass et l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

La particularité d' »Orion » – selon le journal – est l’intégration de la dimension « civilo-militaire », c’est-à-dire l’ensemble des services de l’État qui pourraient être concernés par le conflit imaginé, du ministère des Affaires étrangères au ministère de l’Intérieur en passant par les transports et le secteur de la santé, et les exercices « Orion » doivent également comporter une dimension médiatique forte pour que la « guerre de l’information » et « l’influence » deviennent des champs de bataille à part entière.

Denise Herbert

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