Livres Ibrahim Qassem – Omnia Wave
Mardi 13 juin 2024 16h44
Le conseiller du procureur général Hamada El Sawy et sa délégation qui l’accompagne ont rencontré les dirigeants judiciaires les plus éminents du pays, de l’Égypte arabe à la France, lors de sa visite officielle dans la capitale française, Paris, dans le cadre du renforcement de la coopération judiciaire étroite et de haut niveau entre les deux des pays.
Au cours de ces rencontres, les deux parties ont exprimé leur joie de cette participation qui est l’expression de la profondeur des relations qui les unissent au niveau judiciaire entre les deux pays.
Lors de la réunion d’hier lundi du procureur général avec le ministre français de la justice, il a salué la coopération fructueuse avec les autorités judiciaires françaises sur tous les dossiers, qui a conduit à la récupération de deux artefacts importants pour l’Égypte dans une affaire liée à l’une des plus importantes affaires de pillage et de contrebande d’antiquités impliquant le ministère public égyptien et leurs collègues internationaux. Recherche soulignant l’importance de généraliser ce modèle de coopération avec d’autres pays pour suivre la même approche que celle pour l’État égyptien de récupérer ses antiquités pillées pour demander justice, en particulier après avoir quitté l’Égypte illégalement. Son Excellence a souligné l’importance d’organiser des ateliers et des conférences avec les autorités françaises, impliquant l’Agence de l’Union européenne pour la coopération judiciaire en matière pénale (EURO JUST), afin d’élaborer un futur plan de récupération des antiquités égyptiennes passées en contrebande à l’étranger. Il a également réitéré la volonté du procureur égyptien de parvenir à une coopération efficace entre les deux parties sur tous les dossiers à caractère judiciaire.
Le procureur général a souligné que les crimes de vol d’antiquités et de biens culturels sont commis par des groupes criminels organisés à travers les frontières du pays, a souligné l’importance de la coopération internationale pour préserver les biens de notre pays et a expliqué les efforts de la partie égyptienne pour prouver le départ de ces antiquités. d’Égypte par des fouilles illégales et des pillages.
De son côté, le ministre français de la Justice a réitéré sa joie de la récupération des objets pillés appartenant à l’Etat égyptien, qui constituent l’un de ses trésors et font partie de son patrimoine et de son histoire ancienne. entre les deux états.
Le ministre français de la Justice a proposé que la récupération des artefacts fasse l’objet d’un symposium organisé entre les deux parties, entre autres sujets au profit des membres des deux parties, d’autant plus que la partie égyptienne possède une vaste expérience dans la récupération des artefacts pillés retrouvés de la justice française soulignent la nécessité d’organiser des stages de formation pour les procureurs des deux camps à l’École nationale de formation des magistrats français avec son homologue égyptien, soit régulièrement, soit sur des sujets importants intéressant les deux parties.
Lors de la rencontre du procureur aujourd’hui, mardi, correspondant au 13 juin, avec le procureur près la cour d’appel de Paris au Palais de justice, il a réitéré qu’il existe une relation prolongée entre les deux parties en raison de la présence Il a souligné la grande l’héritage de la justice française parmi les juges égyptiens et Son Excellence a exprimé son plaisir de travailler avec le Parquet français et les autorités judiciaires. , qui est précédée d’une longue histoire entre les deux pays concernant les résultats d’une coopération judiciaire efficace avec la partie française dans la réception des deux importantes antiquités pillées hier.
Au cours de l’entretien, le procureur général près la cour d’appel de Paris a souligné l’importance de la coopération judiciaire entre les deux parties, citant les relations de confiance mutuelle et la nécessité de poursuivre les efforts pour parvenir à une coopération judiciaire efficace entre les deux pays, notamment les dossiers conjoints communs aux les deux parties présentent un intérêt, comme les crimes terroristes et l’extrémisme intellectuel.
Dans le même contexte, le conseiller du procureur général Hamada Al-Sawy a évoqué l’expérience du bureau du procureur égyptien dans les enquêtes sur les affaires de terrorisme, d’extrémisme intellectuel et de nouveaux crimes dont la communauté internationale a été victime ces derniers temps, ainsi que l’expérience de son Excellence Préparation à partager cette expérience avec le Parquet français et a expliqué à quel point cela est important pour accroître l’efficacité du Parquet. Les deux pays sont confrontés à des crimes terroristes et émergents tels que la traite des êtres humains, le trafic de migrants, le blanchiment d’argent, etc. de monnaies virtuelles dans le financement du terrorisme, la criminalité informatique et les mécanismes de collecte de preuves numériques. Excellent dans tous les fichiers partagés entre les deux parties.
Lors de la rencontre de ce jour avec le procureur général Laure Beccio, le procureur général de Paris l’a remerciée d’avoir assisté à la cérémonie de remise des deux pièces volées et d’avoir accueilli la délégation égyptienne lors de cette cérémonie, confirmant la profondeur des relations entre les deux parquets. Cela reflète la coopération absolue entre les deux parties, et la partie française, notant la gravité de ces crimes commis par des gangs organisés de trafiquants d’antiquités, a souligné qu’elle ne ménagera aucun effort pour restituer toutes les pièces d’antiquités égyptiennes pillées et tous les dossiers de coopération entre elles, en coopération avec les pays européens et l’Agence de coopération judiciaire pénale de l’Union européenne (EURO JUST).
Le procureur a souligné qu’il fallait bénéficier de la décision de la justice française pour récupérer les antiquités égyptiennes et que la coopération judiciaire internationale était le moyen de lutter contre ce crime et tous les crimes transfrontaliers. Son Excellence a précisé que les enquêtes sur les crimes de contrebande d’antiquités ne se terminent pas avec l’arrestation de l’accusé, mais se poursuivent jusqu’à ce que les antiquités soient restituées à leur pays, qui a le droit légitime de les recevoir, et que le bureau du procureur égyptien est particulièrement concernés dans diverses affaires intéressés par la conduite d’enquêtes financières parallèles sur des affaires de trafic de drogue ; Il vise à empêcher les criminels de profiter du produit de leurs crimes ou de les utiliser pour financer d’autres crimes tels que le terrorisme, tout en soulignant la nécessité d’échanger des expériences pour trouver le meilleur moyen de lutter contre les groupes criminels organisés et de parvenir à la dissuasion.
La partie française a souligné l’importance des enquêtes financières parallèles afin de tarir les sources de financement des crimes, perturber leurs réseaux, sécuriser les produits de ce crime et empêcher les criminels de profiter de leurs crimes.
Lors de ces réunions, les deux parties ont convenu de développer la formation entre les deux parties et d’identifier de nouveaux crimes où la coopération en matière de formation devrait être activée pour rapprocher les deux parties, tels que : B. Traite des êtres humains, blanchiment d’argent, délit d’information, etc. Crimes d’utilisation de monnaie virtuelle utilisée pour financer le terrorisme et surmonter les obstacles. Unir les efforts afin d’unir les objectifs des deux parties pour lutter contre ces crimes.
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