La montée des partis d’extrême droite en Europe, plus récemment en Italie, en Suède et en France, a bien sûr de nombreuses causes, mais la plus importante et la plus évidente reste l’immigration clandestine, notamment en provenance des pays islamiques et de leur entourage.
Le fait que de plus en plus de citoyens européens votent pour ces partis est la preuve que ce que disent leurs dirigeants résonne dans la société. Cet écho ne peut atteindre et s’en convaincre sans en voir au moins une partie traduite sur place.
Que la théorie du « grand substitut » qui est au cœur du discours politique de ces partis soit vraie ou exagérée, et que son utilisation soit à des fins politiques ou dans le but de préserver le caractère et la culture de ces sociétés, il est clair qu’en gagnant du terrain dans certains pays européens.
Même sans la présence de partis ou de partis cherchant ce remplacement, destiné à remplacer progressivement la population originelle d’immigrés dans ces pays, l’afflux croissant d’immigrés qui ne s’arrêtent pas sur le continent européen par mer, terre et air suffit-il, hors lui-même, pour effrayer certaines entreprises européennes.
Par exemple, la montée du parti des Frères d’Italie de 4 % aux élections de 2018 à 26 % aux dernières élections, où il a pris la première place, ne peut s’expliquer, sauf que les Italiens, entre autres, ressentent désormais le poids de ce problème.
Le langage des nombres ne ment pas. Dans un rapport du journal français Le Monde, le journal saoudien Asharq Al-Awsat a publié des extraits selon lesquels l’Italie est devenue la destination européenne préférée des immigrants illégaux ces dernières années, ayant absorbé environ 56 % du flux mondial de migrants vers la Méditerranée depuis janvier dernier. Europe alors que ce pourcentage n’était que de 9,2% en 2019.
Le rapport souligne qu’entre janvier et la première semaine d’août de cette année, 44 000 migrants et réfugiés sont arrivés sur la côte italienne, en particulier sur l’île italienne de Lampedusa, en provenance de la rive sud de la mer Méditerranée ( 2022 ).
Selon les données du HCR, l’indice de ces arrivées affiche une augmentation de 40% par rapport à la même période en 2021 !
Bien qu’une grande partie de ces migrants ne s’installent généralement pas en Italie même, mais tentent plutôt d’atteindre d’autres pays européens comme l’Allemagne, ces nombreux immigrés donnent un aperçu de ce qui attend l’Europe, d’autant plus que cela se produit malgré le durcissement des procédures et Mesures de prévention de l’immigration clandestine.
Le plus gros problème est que l’image de l’avenir semble sombre ici. Les pays arabes et islamiques de la région, dont certains ont déclaré l’échec, d’autres attendent, et beaucoup d’entre eux sont des prétendants à être des sources ou des passages pour les immigrants illégaux.
Les conditions économiques et politiques dans certains de ces pays ne sont pas de bon augure, sans espoir d’amélioration de sitôt, et tout cela s’accompagne d’une croissance démographique massive.
Et s’il y a une explosion politique ou une émeute, des centaines de milliers, peut-être des millions, fuiront ici et là, et leur destination ultime sera l’Europe.
Par exemple, des réfugiés syriens qui se seraient installés en Turquie se prépareraient à inonder à nouveau l’Europe après que les autorités turques ont commencé à resserrer les restrictions à leur encontre et que leur avenir là-bas est devenu sombre.
L’immigration vers le continent européen n’est pas en soi une chose nouvelle ou récente, mais ce qui est nouveau, c’est que la dégradation accélérée des conditions dans certains pays arabes dépasse de loin la capacité des pays européens à digérer les migrants qui leur affluent des problèmes graves et réels pour ces sociétés.
Pire encore, la plupart de ces immigrés varient selon le degré d’hostilité en termes de religion, de culture et de coutumes sociales, faisant de leur intégration dans leurs nouvelles sociétés un processus à la fois douloureux, complexe et coûteux.
Sans surprise, de plus en plus de citoyens européens expriment leur colère et leur frustration face aux politiques d’immigration de leurs gouvernements en votant pour des partis d’extrême droite. Il n’est pas surprenant que ces partis voient l’apparition de ces partis comme une réaction naturelle et quelque chose imitant l’action de l’antibiotique fabriqué par l’organisme européen pour se protéger d’un danger imminent !
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