Le « Hezbollah » a transformé le droit d’élire un nouveau président pour la République libanaise en un combat avec le Royaume d’Arabie saoudite, qui à la veille des élections législatives est revenu avec élan au « pays des cèdres » après une longue négligence dans laquelle le pays était été témoin en mai dernier.
Et le Hezbollah, tout en étant cohérent avec sa « guerre médiatique », se concentre sur l’ambassadeur saoudien au Liban Walid Bukhari en tournée dans les régions et leurs personnalités et dirigeants se préparent à tenir une conférence nationale demain samedi et à défendre « l’accord de Taëf » avec une « guerre » similaire » Cependant, cette harmonie entre le « maître iranien » et le « subordonné libanais » n’empêche pas le Hezbollah de défendre farouchement ses acquis autoritaires au Liban également.
Et si l’Arabie Saoudite, qui a déjà fait face à des « pressions » libanaises, régionales et internationales pour restaurer son intérêt pour le « pays du cèdre » et ne pas le laisser « laisser de la nourriture légère dans la bouche iranienne », veut contribuer directement à préparer le base appropriée pour la mise en œuvre des principes convenus avec la France et les États-Unis d’Amérique, afin que le Liban puisse mettre en œuvre les résolutions internationales pertinentes, qui tournent toutes autour du désarmement du Hezbollah, dans lequel le Hezbollah, pour sa part, est engagé dans une se battre pour, d’une part, cette entreprise saoudienne et éviter de nuire aux gains qu’elle impose au pays, et au peuple libanais, d’autre part, avec son succès à « transporter » le général Michel Aoun à la présidence. 2016 contre.
L’adhésion de l’Arabie saoudite à la «ligne libanaise» n’est pas une mince affaire pour le «Hezbollah». Politique temporaire », à la veille des dernières élections législatives.
Bien que Riyad n’ait pas de milice forte au Liban contrairement à l’Iran, elle a une forte influence sur des segments clés au Liban et, par conséquent, sa parole a un grand impact sur la prise de décision.
ويعرف اللبنانيّون، وسبق أن عبّر عن ذلك موفدون دوليّون، بمن فيهم الوسيط الأميركي آموس هوكستين، أنّ إنقاذ لبنان، وحتى لو كان في مياهه الإقليميّة كميّات استثماريّة من الغاز، أو توصّل إلى اتّفاق على برنامج مع « صندوق النقد الدولي »، يتطلّب احتضانًا من المملكة Arabie Saoudite.
Lorsque la France et les États-Unis ont décidé de rejoindre la ligne d’aide au peuple libanais pour atténuer le désastre financier et économique qui s’abattait sur eux, ils se sont tournés vers Riyad pour les assister dans cette tâche très coûteuse.
ولكنّ السعوديّة، طالما اشترطت على المجتمع الدوليّ أن يكون داعمًا لها في دفع لبنان الى استعادة نفسه من الهيمنة الإيرانيّة، حتى يكون للدور المطلوب منها، تأثير مستدام، الأمر الذي حصلت عليه، ولا سيّما من الرئيس الفرنسي إيمانويل ماكرون الحريص على إبقاء قنواته الرسميّة مفتوحة مع « Hezbollah ».
Cela suggère que les forces libanaises alliées à l’Arabie saoudite n’y voient pas un « facteur d’équilibrage » avec le « facteur iranien », mais y voient une possible « corde de guérison » qui jouerait un rôle crucial pour « sortir » le Liban de l’enfer » aussi.
En conséquence, le retour saoudien au Liban, avec ses propres capacités d’une part et renforcé par des données locales, régionales et internationales d’autre part, en fait une menace réelle pour les objectifs du Hezbollah.
Bien sûr, le Hezbollah, ayant ses propres capacités, ne restera pas les bras croisés devant cette force saoudienne menaçant ses grandes réalisations, mais l’affrontera aussi longtemps que possible et par tous les moyens disponibles jusqu’à ce que l’effort saoudien soit contrecarré au maximum et par ses propres moyens. pour atténuer l’impact. , au minimum.
Cependant, les composantes de la confrontation ouverte par le Hezbollah restent « floues » pour eux aussi, puisque la décision iranienne finale sur la manière de traiter avec l’Arabie saoudite n’a pas encore été prise et que la position des gardiens de la révolution n’est pas encore alignée sur celle de l’Iran. le gouvernement iranien, qui attend toujours avec impatience la « normalisation des relations » avec le leadership saoudien, conscient que s’il ouvre une confrontation avec lui, il n’aura pas un seul allié, même au sein du groupe international auquel il appartient. Dans l’intérêt de « la cohésion des alliés ».
Et si l’Iran est « coincé » au « point d’indécision », alors le « Hezbollah » n’ira pas au-delà de la « guerre médiatique » pour œuvrer à un « règlement » prôné par ses proches sur la base de l’élection d’un Président, dans lequel Le « Hezbollah » régnera. Un enjeu de poids », en échange des opposants du « Hezbollah » soutenus par l’Arabie saoudite ayant un intérêt important dans le Premier ministre de la « nouvelle ère ».
Des informations d’une part et des implications des déclarations d’autre part, il ne s’ensuit pas que cette solution proposée est rejetée dans son principe, mais qu’elle reçoit une « approbation fondamentale », mais qu’elle doit « améliorer les conditions » . ‘ pour que le prochain président ait un plus grand enjeu pour un État plus normal qui ne le gouverne pas. Extérieurement, la constitution est dominée par les armes importées, intérieurement.
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