Le début avec la réforme du système des retraites et un article du Figaro intitulé « Les Français soutiennent toujours la mobilisation et misent sur le Conseil constitutionnel ».
Le dernier sondage Odoxa Backbone pour Le Figaro a révélé que la moitié des Français blâment Elisabeth Bourne pour l’échec de la réunion de mardi avec les syndicats. Tandis que 35% leur reprochent conjointement, ainsi qu’aux syndicats, ce dialogue engourdi.
Même les partisans du camp présidentiel prennent partiellement leurs distances avec leur chef et reconnaissent leur responsabilité. En revanche, 45% blâment les responsables syndicaux.
Selon le sondage, 64% soutiennent le mouvement social, et six sur dix d’entre eux pensent que la contestation va se poursuivre et devenir encore plus violente.
Concernant l’impossibilité d’allonger l’âge légal au-delà de 62 ans, la majorité se dit prête à voter en ce sens dans un projet de loi qui recueillera les signatures de 10% des inscrits sur les listes électorales, soit environ 4,8 millions de personnes à réunir.
Mais avant cela, les manifestants attendent la décision attendue du Conseil constitutionnel le 14 avril et en espèrent mieux.
Et dans une autre affaire française, mais avec Lacroix et l’article suivant, Teenagers Who Become Radicalized
L’enquête préliminaire sur un mineur interpellé jeudi dans le Haut-Rhin a révélé qu’il avait dissimulé des explosifs pouvant servir à la pose d’engins piégés. Il a également téléchargé plusieurs vidéos de propagande de l’EI et a été en contact avec des sympathisants de l’EI.
Jean-Charles Brisard, responsable du Centre d’analyse du terrorisme, affirme que depuis 2012, 60 % des détenus étaient inconnus des services de renseignement. Et à partir de 2019, ce pourcentage est passé à 80 %.
Les réseaux sociaux sont une part importante de la radicalisation de ces adolescentes : Sur TikTok ou Instagram elles proposent des défis comme : « Dis tes prières au collège » ou « Porte le hijab ». Ce n’est pas une rhétorique de l’extrémisme mais une porte d’entrée vers le séparatisme ou l’idéologie salafiste.
Selon Séraphin Alava, membre de la Chaire UNESCO en prévention de l’extrémisme, il n’existe pas de modèle unique d’extrémisme à l’adolescence. « Certains jeunes grandissent dans un milieu familial extrémiste, ou on retrouve un discours qu’ils n’ont rien à faire ou n’ont rien à perdre et donc peuvent devenir acteurs en se livrant à la délinquance ou à l’extrémisme.
Quant à Libération, il publie une conférence d’un ancien officier des services de sécurité de Poutine.
He Gleb Karakulov travaille au service de sécurité privée du président russe depuis 2009. Il s’est enfui à Istanbul et a profité d’un voyage d’affaires au Kazakhstan.
Il décrit Poutine comme un président complètement coupé du monde et vivant dans la paranoïa, qui n’a pas de téléphone. Il n’utilise pas non plus Internet. Sa seule demande est l’accès à la télévision russe partout où il va.
Et pour s’informer, Poutine ne compte que sur son entourage, coincé dans une bulle d’information qui se referme progressivement depuis le début de la guerre.
Certains employés doivent encore se conformer à la quarantaine pour pouvoir participer à une réunion avec lui dans la même pièce, et la zone a également besoin de tests PCR quotidiens.
Malgré le mystère entourant sa santé depuis plusieurs années. Cependant, Gleb Karakulov confirme que le président russe est en bien meilleure santé que beaucoup de son âge.
A Saint-Pétersbourg, Sotchi ou Novo-Ogaryovo, les bureaux de toutes ses résidences sont similaires. Les mêmes précautions sont prises pour ses déplacements, en cortège ou en train blindé. Mais il a peur, selon Karakulov, qui a également confirmé ce que l’équipe d’Alexeï Navalny a révélé, du célèbre « palais de Poutine » au bord de la mer Noire et de son yacht de luxe Shéhérazade.
On termine avec les Echos ci-dessus et un article intitulé Balancing Actions between Congress and Taiwan under the eye
Malgré le déploiement de navires de guerre dans le détroit de Taïwan et les patrouilles des garde-côtes chinois et les vols en hélicoptère en réponse à la rencontre entre le président taïwanais Tsai Ing-wen et le président de la Chambre Kevin McCarthy mercredi en Californie, ces mouvements sont toujours moins énergiques que ceux qui ont suivi. par la visite de Nancy Pelosi à Taipei l’été dernier.
De son côté, McCarthy a décidé de ne pas se rendre à Taïwan au profit d’une rencontre aux Etats-Unis, répandant un esprit d’apaisement, selon les Echos.
McCarthy a également souligné le niveau des relations américano-taïwanaises sans les associer personnellement ou avec la Chine, selon Eric Sayers de l’American Enterprise Institute.
Mais selon Politico, Tsai a demandé de l’aide pour former ses troupes locales. Elle a dit qu’elle avait vraiment besoin que les États-Unis travaillent avec leur armée pour s’assurer qu’ils sont prêts en cas de besoin et pour accélérer la livraison des systèmes de défense, car ce ne serait pas seulement pour Taïwan mais pour le reste de l’Indo-Pacifique. Comment Pékin va-t-il gérer cela ?
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