L’entreprise française CMN est une institution scientifique pionnière dans la construction de navires garde-côtes

Titre du bulletin scientifique : – L’entreprise française CMN est une entreprise scientifique pionnière dans la construction de navires des garde-côtes – La Suisse découvre un fossile de la plus ancienne dent de lézards poissons disparus – Les réunions utilisant la technologie vidéo affaiblissent la capacité d’innover

Occupant une superficie de cent dix mille mètres carrés dans la ville de Cherbourg, surplombant la Manche, CMN est devenue une référence mondiale dans l’art des industries militaires et des navires de croisière. Cette entreprise possède une vaste expérience dans ce domaine depuis 75 ans. CMN travaille avec les marines de 38 pays et met à disposition de l’Arabie saoudite son expertise pour permettre à la société Zamil de Dammam de produire 39 intercepteurs rapides Interceptor HSI 32 pour les garde-côtes. Les ateliers de construction des usines couvertes et découvertes du CMN savaient que la modernité technologique reposait sur l’automatisation, reposant en grande partie sur les compétences manuelles de plus de 400 ouvriers, comme l’expliquait leur PDG Jean Durand :

« Aider les pays à protéger leurs frontières maritimes est au cœur de notre métier. CMN fabrique du personnel de sécurité côtière avec des spécifications haut de gamme. Dans nos usines, l’automatisation automatique ou le fonctionnement assisté par ordinateur de machines sans travail manuel a fait de petites percées dans nos usines et est encore fortement représenté dans l’artisanat. L’humanité, mais nous nous efforçons de moderniser et de développer les machines afin de réduire les nombre d’accidents du travail.

Comme il nous est difficile de trouver des ouvriers qualifiés pour assembler des pièces métalliques, nous exploitons une partie du département de soudage avec une automatisation robotisée. Nous nous appuyons également sur des équipements automatisés pour centrer avec précision les tuyaux dans les navires, et nous comptons également sur l’automatisation pour couper les tôles nécessaires à la construction des coques des navires militaires.

CMN construit non seulement des navires rapides et des frégates pour les marines mondiales, mais aussi des yachts de croisière pour le public. Elle supervise toutes les phases de production, depuis le développement de l’idée sur papier jusqu’à la sélection des matériaux pour l’intérieur et la remise des clés d’un navire en état de naviguer.

La plus grande dent rare, qui appartient aux dents des reptiles marins géants de la famille des ichtyosaures, se trouve en Suisse.

Entre 1976 et 1990, des fossiles de trois reptiles marins géants de la famille des ichtyosaures, c’est-à-dire des lézards poissons, qui vivaient il y a environ 205 millions d’années, ont été découverts dans les Alpes suisses. Ces trois fossiles n’avaient pas été étudiés en détail jusqu’à récemment. Ces fossiles comprenaient la plus grande dent trouvée pour la première fois chez un poisson-lézard, et le diamètre de la dent découverte atteignait 60 millimètres, selon le professeur Martin Sander de l’Université de Bonn. Il convient de noter que les ichtyosaures éteints, dont certains étaient énormes et d’autres aussi grands que des dauphins, sont apparus il y a environ 250 millions d’années, mais la plupart d’entre eux sont morts il y a 200 millions d’années.

Depuis l’essor du travail à distance grâce à Internet, la visioconférence freine le développement d’idées innovantes et collaboratives.

Sur la base d’une étude publiée par la revue Nature impliquant 1 490 ingénieurs du monde entier, il a été constaté que les interactions en face à face au sein des entreprises aboutissaient à 13 pour cent d’idées innovantes en plus que celles générées par des interactions virtuelles utilisant des services vidéo, que ce soit via Zoom, Équipes ou Skype. « .

Les auteurs de l’étude de la Columbia Business School ont découvert que la vidéoconférence amène les participants à concentrer leur attention sur une zone limitée de l’écran, limitant ainsi le processus cognitif qui mène à l’innovation. Dans les réunions en présentiel, les participants se trouvent dans un environnement complet, plus propice à la divergence d’idées qui génère rapidement de nouvelles idées.

Les chercheurs de la Columbia Business School n’ont pas vu la nécessité d’abandonner les réunions virtuelles, mais ont suggéré de les limiter à des tâches spécifiques et de donner la priorité aux personnes présentes au bureau pour échanger des idées.

Andrien Barre

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