Les médias arabes et internationaux ont fait état de l’utilisation d’armes interdites contre la bande de Gaza.

Titre du bulletin scientifique : – Les médias arabes et internationaux ont rapporté des informations sur l’utilisation d’armes interdites qui ont plu sur la bande de Gaza. – Des essais sur l’homme ont commencé avec un vaccin anti-allergique à base de poils de chat. – Le changement climatique rapproche les amphibiens de l’extinction

L’Observatoire Euro-Méditerranéen des Droits de l’Homme a recueilli des témoignages oculaires « selon lesquels il n’a pas encore été en mesure de vérifier » que l’armée israélienne a utilisé des bombes au phosphore blanc sur des zones du sud de la bande de Gaza pour riposter contre des groupes armés palestiniens.

Un communiqué de cet Observatoire affirme que les forces israéliennes violent clairement le droit international humanitaire en s’appuyant sur « des armes dotées d’un énorme pouvoir destructeur, compte tenu du nombre d’immeubles résidentiels qui se sont effondrés ».

Lorsqu’on explique le danger des bombes au phosphore blanc ou jaune, dont le nom fait référence aux mêmes types de bombes, il faut noter qu’il s’agit d’armes chimiques incendiaires dont la charge principale contient du phosphore et dont l’usage offensif a été interdit par les Nations Unies en 2010. c’était en 1983.

Les bombes au phosphore sont conçues pour produire une chaleur intense d’environ 1 000 degrés Celsius en plus de leur pouvoir destructeur. Lorsqu’une bombe au phosphore utilisée à des fins tactiques, par exemple pour masquer les mouvements au sol, explose, le phosphore se propage et commence à brûler, interagissant intensément avec l’oxygène et produisant une épaisse fumée couvrant une superficie de plusieurs centaines de mètres carrés. Lorsque des particules de phosphore saturées d’humidité atmosphérique pénètrent dans le corps humain, l’acide phosphorique provoque des brûlures très douloureuses du deuxième au troisième degré. Notez que le phosphore blanc est facilement absorbé par la peau dans le reste du corps et provoque d’autres symptômes graves, notamment la mort en raison de lésions des reins, du foie et du cœur.

Un vaccin pour les personnes allergiques aux poils de chat

Le débat sur les allergies aux chats prendra-t-il fin une fois que le vaccin contre cette réaction allergique sera connu ?

Il n’est pas improbable qu’un vaccin contre l’allergie aux poils de chat soit approuvé dans les années à venir après que la société pharmaceutique canadienne-française Angany a lancé le premier essai clinique sur l’homme dans le but de tester son vaccin, appelé « ANG-101 », sur un test humain. premier groupe de patients au Royal Brompton Hospital de Londres. Ce vaccin a été préalablement testé sur des animaux et a conduit à une très forte production d’anticorps capables de prévenir les réactions allergiques.

Le vaccin ANG-101 est constitué d’une bioparticule qui imite la forme et la taille du virus. La surface de la particule est recouverte de milliers de copies de la protéine Fel d1, qui est le principal allergène chez le chat.

Selon le fabricant Angany, fondé en France en 2010, le vaccin « ANG-101 » est considéré comme le premier d’un groupe de vaccins en cours de développement contre les types d’allergies les plus courants chez les personnes et les animaux domestiques. Ces vaccins peuvent remplacer des traitements contre les allergies qui ne sont pas toujours efficaces, comme les antihistaminiques et les injections de « désensibilisation » aux extraits d’allergènes.

Les amphibiens survivront-ils aux effets du changement climatique ?

Les amphibiens, ces créatures qui peuvent vivre à la fois sur terre et dans l’eau, sont menacés d’extinction car le changement climatique est devenu le principal facteur causant des dommages dévastateurs et des changements dans l’habitat des amphibiens, selon un récent rapport publié par la revue Nature. .

41 % des amphibiens sont classés « en danger » et réclament la protection de leurs habitats et la réduction des émissions de dioxyde de carbone.

Le changement climatique est responsable de 39 % du déclin de l’état de conservation des espèces depuis 2004, suivi par la perte d’habitat à 37 %.

S’il manque des plumes, des poils ou des écailles sur le corps des amphibiens, ces animaux se déshydratent à cause des températures élevées ou souffrent de la disparition des lieux de reproduction humides. Les tempêtes, les inondations et les inondations de plus en plus nombreuses et fréquentes menacent également les habitats des amphibiens. Ces changements dans le milieu de vie des amphibiens se produisent très rapidement et ces animaux sont incapables de s’y adapter, selon Kelsey Neam, chercheuse spécialisée à l’Union internationale pour la conservation de la nature.

Les amphibiens jouent un rôle essentiel dans la chaîne alimentaire, nourrissant les oiseaux, les mammifères et les reptiles. Par exemple, dans certaines régions d’Australie et du Brésil, la sécheresse menace la reproduction des grenouilles, qui ont besoin de l’humidité du sol et du feuillage pour protéger leurs œufs.

Andrien Barre

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